Le contrat

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il y a 4 ans

Quand un jeune gay drague et se retrouve dans une école qui est également un camp d’entraînement à la soumission, cela donne une histoire érotique plutôt riche....

A l'âge de 19 ans, j'ai rencontré Jacques, un peu par hasard, à la piscine municipale.

A cette époque je fréquentais beaucoup cette piscine dans la ville où je venais d'arriver avec mes parents. Inutile de dire que j'étais encore puceau, même si j'avais déjà un peu jouer avec des copains..

Jacques est un homme d'une trentaine d'années, plutôt bien foutu : 1M80 comme moi, brun commençant à se dégarnir, plutôt musclé et pas trop poilu. Moi j'étais aussi un peu musclé mais moins que lui, châtain avec les cheveux courts et poilu normalement si je peux dire

La première fois que Jacques m'a abordé, c'était dans les vestiaires. Le vestiaires était un assemblage de casiers avec devant des bancs et au fond de la pièce pas très grande finalement, 2 cabines. J'utilisais régulièrement une cabine pour me changer, mais cette fois, elles étaient toutes deux occupées et je me changeais devant mon casier.

C'est là que Jacques m'a abordé, en remarquant que nous nous rencontrions souvent à la même heure. Effectivement, depuis plusieurs semaines, j'avais vu cet homme qui sortait très peu de temps après moi. Il me demanda si je voulais prendre un verre. J'acceptais

Très vite la conversation dérapa sur la sexualité. Il vivait seul mais avait été marié quelques temps. Il se disait bi mais affirmait que moi j'étais homo. Comment pouvait-il le voir ? Après un temps d'hésitation, je lui confirmais ces dires. Il m'invita à passer chez lui un soir... "je m'arrangerai" lui ai-je dit. Et c'est à partir de ce moment que Jacques est devenu mon amant, puis mon maître

La première fois, il m'a invité à diner puis nous sommes allés dans un hôtel aux abords de la ville. On y entre sans que personne ne nous regarde, avec juste une carte de crédit. Il a payé, a pris le code de la chambre et nous sommes montés. Très vite, il s'est occupé de moi : il m'a embrassé doucement, m'a caressé tout en me déshabillant lentement. Je bandais très fort et j'avais peur de lâcher toute ma semence trop vite. Il l'a sans doute remarqué puis qu'il m'a proposé de prendre une douche, ensemble. La douche se trouvait à l'extérieur, dans un couloir où n'importe qui aurait pu nous croiser. Il m'a demandé de le suivre tel que j'étais : je n'avais plus qu'un caleçon sur moi. "Heu... pas comme ça... Je peux pas me balader en caleçon !" d'autant plus que je bandais...

"T'inquiètes ! il n'y a personne... et puis, on va se laver ! Tiens, voilà une serviette"

Très inquiet, je le suis, rapidement... Heureusement, la douche est disponible. On entre dans la pièce et il m'enlève le caleçon, un peu brutalement. Je me retrouve nu, entièrement à sa merci, pour la première fois... Lui est toujours habillé, il a juste retiré ses chaussures. Il a toujours un tee shirt et son pantalon. Il me met sous la douche et me demande de bien me laver. Pendant ce temps, il prépare un rasoir et de la mousse.

"Viens, je voudrai te voir vraiment nu !"

"Hein ? mais qu'est-ce que ça veut dire ?"

"je vais te raser le sexe et le cul... ça te dérange ?"

"Ben oui, un peu... pourquoi ?"

et là il me badigeonne de mousse et devant mon manque de réaction, il empoigne mon sexe et me rase la bite, les couilles et le pubis.

"Retournes toi, et penches toi bien en avant"

Et sans réagir, je lui obéis. Je sens le rasoir me passer le long de la raie. Quand il a fini, il m'embrasse le cul et me demande de me rincer et de le rejoindre à la chambre...

Il quitte la douche avec mon caleçon. Je n'ai plus que la serviette trop petite pour fare le tour de ma taille. Je le suis donc de très près ne connaissant pas le code de la chambre, me cachant tant bien que mal avec la serviette. Heureusement, personne n'est sorti de sa chambre pendant que je passais. Jacques était maintenant très excité, il m'allongea sur le lit et commença à me sucer délicatement puis à me lécher le cul. C'était la première fois que quelqu'un s'occupait comme ça de moi et c'était très bon. J'ai joui sur mon ventre, les jambes en l'air, pendant qu'il m'introduisait sa langue dans la raie des fesses. Il m'a dit que j'étais un rapide et qu'il fallait que je me contrôle ! J'étais rouge de honte. Il prit mon sperme avec un doigt et l'amena à ma bouche. Dans un premier temps, je faisais la grimace mais très vite, il f o r ç a ma bouche et je dus lécher son doigt jusqu'à la dernière goutte. Il me nettoya le ventre ainsi pendant près d'un quart d'heure.

"Tu vois comme tu es beau sans tous ces poils ! La prochaine fois, je veux que tu viennes déjà rasé, sinon, tu auras une fessée ! Allez... C'est bon pour aujourd'hui ! Je te laisse rentrer seul :"

"Mais ce n'est pas la porte à côté ! Tu pourrais me déposer en ville, s'il te plait !"

"Non, tu vas te débrouiller..."

et il est sorti, me laissant un papier et m'embrassant goulument sur la bouche

Je me posais alors beaucoup de questions en me rhabillant : est-ce que je voulais poursuivre cette relation ? allais-je retourner à la piscine ?

J'ai pris alors connaissance du mot :

"je m'appelle Jacques, je veux te voir dans trois jours à la piscine, à la même heure que d'habitude... sans poils ! sinon, je dis tout à tes parents."

Je crois que là j'ai pris peur... Mais trois jours après, je me préparais pour aller à la piscine !

Jacques me libéra de mes liens, il me rendit mon boxer et je rentrais chez moi, très excité après cette séance.

Nos rencontres se firent plus rapprochées. A chaque fois, le même rituel : un prétexte pour une fessée à laquelle je prenais goût, puis il me laissait le sucer jusqu'à l'éjaculation. J'aimais le goût de son sperme. Jacques me rendait fou de lui. Je voulais être de plus en plus souvent avec lui. Il était à la fois protecteur, et me corrigeait au moindre manquement. Pour le voir, je devais toujours me raser le sexe et le cul, venir en short sans rien dessous et me présenter chez lui, les mains croisées dans le dos. Il admirait alors ma bite bandée sous le short et avant que je n'entre chez lui, il me baissait le short. Durant plusieurs semaines, ce fut ce rituel, mais l'hiver arrivait et le short n'était vraiment plus de mise. J'eus alors le droit de porter un pantalon de jogging, mais assez large.

Puis un jour, il me reçut sans me déculotter.

  • Aujourd'hui, je voudrais que tu sois épilé complètement aux jambes et sur le torse. Je vais t'emmener dans un institut. Tiens mets çà

Il me tendit des vêtements à ma taille : un sweat, un jean, un mini slip qui me rentrait dans les fesses. Je gardais mes baskets. Nous nous rendîmes assez

loin, dans une autre ville où il avait pris rendez-vous. Il avait l'air connu dans cet endroit. Une dame me demanda de la suivre. Elle demanda de me déshabiller et me tendit un string pour " les soins ". Je me changeai dans une cabine et je m'allongeai sur le dos sur une table qu'on m'avait indiquée. L'esthéticienne me parla très calmement en m'expliquant ce qu'elle allait faire. Elle me dit que ce serait sans doute douloureux. Elle commença par les jambes. C'était horrible !!!! jamais je n'avais eu mal comme ça. Les larmes me venaient aux yeux mais je m'eff o r ç a is de ne pas crier. Juste quelques souffles. Jacques est arrivé dans la pièce en expliquant à l'esthéticienne qu'elle pouvait y allait franchement, que j'étais solide. Après les jambes, ce fut les cuisses puis l'entre jambes : encore plus douloureux. Puis le torse, sans doute le plus supportable. Enfin, quand je fus sur le ventre, la t o r t u r e continua, côté face...

Avant que je ne me rhabille, Jacques me caressa sans aucune honte devant la dame.

  • C'est parfait, comme toujours !

Je ne devais donc pas être le premier qu'il amenait dans ce salon...

De retour chez lui, il me demanda si j'aimerai être circoncis.

  • Je n'y ai jamais pensé... C'est religieux non ?

  • Non, pas seulement, tu sais, c'est plus hygiénique. Tu seras vraiment clean sans poil et la bite circoncise !

  • Mais... Je crois pas que ça se fasse comme ça, ici sur le coin d'une table !

Il se mit à rire

  • Mais non idiote, tu feras ça à l'hôpital ! C'est quelques jours sans te tripoter... c'est tout

  • Je peux réfléchir ?

  • Pas longtemps alors, sinon, on passe à autre chose !

  • Qu'est-ce que ça veut dire ?

  • Ça veut dire que je t'aime bien mais je peux te laisser pour un autre garçon !

J'étais mitigé. D'un côté le perdre, de l'autre me faire charcuter la zigounette... Et puis comment présenter ça à mes parents ? oui je sais, je suis majeur, mais je vis toujours chez eux ! En rentrant chez moi, ce jour-là, je me posais plein de questions. Le soir, je m'admirais dans la glace, sans poils ! Je ressemblais à un petit garçon mais j'avais une décision à prendre...

La visite suivante chez Jacques se déroula comme à l'habitude, mais après la fessée, un peu plus brutale que les fois précédentes, il me demanda de m'installer à la table, nu. Là il me montra un papier. Il m'expliqua :

  • Voilà, Cédric, je veux devenir ton maître. Mais si tu es d'accord, tu dois m'obéir en tous points. Ce contrat précise différentes clauses que tu accepteras sans conditions si tu veux revenir ici. La première est que tu m'appartiendras. Je pourrais faire de toi ce que bon me semble, tout en préservant ta sécurité et ta santé, bien entendu. Je te laisse lire les autres

Ce " contrat " prévoyait différentes choses : je devais me faire circoncire, je devrais répondre à toutes ses demandes quand bon lui semblerait, il pourrait même m'emmener sans préavis dans des endroits qu'il aurait choisis, etc, etc...

Je lui posais quelques questions, du genre " mais mes études ?, mes parents ? je peux pas me libérer comme ça "

  • Je te garantis ta liberté durant la semaine, tu pourras suivre tes études, voir tes parents, mais le mieux serait de vivre ici ! Tu pourras avoir des copains mais pas de rencontres le week end. Week end et vacances, c'est pour moi !

En lisant les différents termes du contrat, je bandais ! ça m'excitait drôlement d'appartenir à un homme.

  • Je vois que ça te fait de l'effet. Je te laisse réfléchir quelques jours. Si tu reviens ici dans moins de trois jours, c'est avec le contrat signé.

Et sur ce, il me ramène nu à la porte, me met sur le palier en me tendant mes affaires et le contrat.

Le contrat

Le contrat ! Ce mot me revenait sans cesse à la tête. Durant 2 jours, je ne pensais qu'à ça. Je fantasmais !!! Et ça me donnait des bandaisons comme jamais. Je me suis paluché en deux jours plus de fois qu'en toute ma vie... Et pourtant j'hésitais encore.

Mercredi matin... le dernier jour pour le choix. Le matin je m'engueule avec mon père. Il ne pense qu'à son boulot ! Et ma mère qu'à sa télé. Je leur annonce que je vais logeais chez un ami quelque temps pour me rapprocher de la fac. Aucune réaction. Ma mère me demande simplement de l'appeler de temps en temps... En fait, j'ai l'impression qu'ils sont heureux que je les laisse tranquille. Je leur dis que je reviendrai quand même... Pas de réaction. Mon père est déjà parti ou presque. " Salut, à plus ! " et me voilà parti, chez Jacques, le contrat dans mon blouson.

Arrivé à son immeuble, je prends l'ascenseur. Mon coeur bat très fort. Je bande ! Mon jogging trop large laisse la place à ma bite en pleine ascension.

J'arrive à l'étage de Jacques, je sonne à sa porte. Il m'ouvre :

  • Si tu es là c'est que tu as réfléchi ! et surtout que tu acceptes...

  • Jacques, je voudrais qu'on parle de...

  • Non, c'est tout ou rien !

Il me fait signe d'entrer. Tiens, il ne m'enlève pas le jogging.

  • On va revoir ensemble les termes du contrat pour voir si tu as tout bien compris.

Il me demande de lire les différents points :

La durée du contrat est fixée à 2 ans, renouvelable par accord entre les deux parties. Le stagiaire s'engage à servir son maître qui lui veillera à la sécurité de son apprenti. Le contrat a pour but d'amener le stagiaire à un respect total des règles fixées par son maître. En aucun cas le maître ne devra mettre la sécurité ou la vie de son stagiaire en danger.

  • Bien pour un début. Maintenant explique moi ce que tu as retenu du comportement du stagiaire

Et je lui énonce ce dont je me rappelle : le stagiaire fait confiance à son maître, il sert, honore et donne du plaisir au maître. Il respecte les ordres et décisions de son maître quel que soit le lieu où il se trouve. Le stagiaire doit immédiatement être disponible lorsque le maître le réclame. Il doit accepter de laisser son maître disposer de son corps tout entier, dans l'intimité comme dans les lieux choisis par son maître. Il accepte la punition en cas de manquements aux ordres. Le stagiaire accepte les jeux sexuels avec d'autres personnes que son maître et ceci afin de parfaire son éducation de docilité.

  • Bien, jeune homme, très bien ! je vois que tu as bien appris ta leçon. Je te rappelle que le maître garde le contrôle de la situation et qu'il ne doit pas te mettre en danger. Je ne le ferai pas, tu m'es trop précieux ! Venons-en à la suite, les règles de vie ?

Je continue ma " récitation ". Le stagiaire ne s'habillera qu'avec les vêtements prévus par son maître. A l'intérieur de l'appartement, sans précision, le stagiaire vivra nu ou avec un jock strap. Il aura droit de mettre des tongs aux pieds. Le stagiaire devra s'entretenir et avoir une hygiène irréprochable.

  • Excellent ! il est bien entendu que tu poursuivras tes études, j'y tiens ! Tu continueras aussi le sport pour te maintenir en forme. D'ailleurs nous continuerons ensemble la piscine. Il est évident que tu rentreras à l'appartement dès la fin de la journée et le week end. Je déciderai des jours où tu pourras voir tes parents. Continuons. Il y a un point sur la douleur, si je ne m'a b u s e .

  • Oui, le corps du stagiaire est à la disposition du maître. Il pourra être soumis à la douleur, progressivement. Le stagiaire n'a pas à se soucier de la durée des jeux sexuels que ce soit avec son maître ou avec des tiers.

  • Tu oublies de préciser que le maître se réserve le droit d'utilisation de chaque trou du stagiaire. Mais bon, tu as retenu l'essentiel. Est-ce que tu as pris connaissance des dernières dispositions ?

  • Oui, c'est d'ailleurs ces derniers points qui me posent problème.

  • Quel problème ?

  • Tu parles de circoncision et d'épilation...

  • Je te veux circoncis et épilé ! c'est clair !

  • Mais...

  • Il n'y a pas de mais ! c'est tout ou rien ! alors ?

J'avais déjà beaucoup réfléchi, mais ce cadre contraignant me plaisait assez et je lui confirmais mon accord.

  • Tu as vu les annexes ?

  • Oui, il s'agit des punitions

  • Voilà. Alors tu sais que comme punition il peut y avoir différentes choses : séquestration, coups, humiliations etc... l'humiliation faisant également partie de ta formation !

  • Oui, j'ai vu tout ça

  • Bien, reste les points de vie : tu t'occupes de l'appartement : nettoyage, vaisselle, etc. La cuisine on la fera ensemble. En tant que maître, je règne sur ta vie, jour et nuit ! je te garantis un sommeil réparateur tant que tu es en études. Je te garantis aussi du temps pour toi : études essentiellement. Je veux que tes études me servent un jour ou l'autre.

Je commençais des études de commerce international. Ça me rassurait un peu de savoir que je pourrais les assurer. Nous étions en septembre, l'école allait bientôt commencer.

  • Très bien Cédric. Tu signes et tu te mets en tenue !

Il me tend un stylo et je signe le contrat après avoir paraphé les pages. Je me déshabille en hésitant avant d'enlever mon caleçon. Il me le baisse vivement et je me retrouve entièrement nu. Il prend mes vêtements et les met dans un sac poubelle. Puis il me fait visiter l'appartement. Il m'emmène dans la cuisine, le cellier, les trois chambres dont une qui sera la mienne. Il m'explique comment fonctionnent les appareils...

Dans la chambre, il ouvre une commode. A l'intérieur se trouvent quelques mini-slips, un jock-strap, un débardeur et une paire de tong. Dans un placard se trouvent un jean, des sweats, et un costume de style anglais (culotte courte, blaser, cravate...). Il y a aussi des chaussures vernies.

  • Voilà, tout cela est à toi maintenant. Normalement c'est à ta taille, mais si ce n'est pas lecas, on ira échanger. Demain nous irons au salon pour ton épilation totale. Tu garderas simplement tes sourcils !

Et il se met à rire. Je suis là un peu penaud, ne sachant comment mettre mes mains.

  • Bien, maintenant on va fixer la semaine qui arrive : lundi, mardi tu te prépares à tes études. Je te ramènerai ce qu'il faut. L'après-midi, sport. On ira dans une salle. Mercredi, piscine et ensuite distraction du maître. Jeudi vendredi comme lundi et mardi. Et le week-end... je t'en parle pas. Chaque matin, l'appartement est en ordre, tu t'en occupes bien sûr !

  • Je pourrais appeler mes parents ?

  • Oui, tu pourras même les voir... à ce rythme on tient jusqu'au printemps ! et au printemps clic clic.

  • Clic clic ?

  • Tu n'as pas oublié ? Circoncision. Je prends rendez-vous tout de suite à la clinique. Je connais le professeur, il te soignera bien.

Je ne sais pas quoi dire ni quoi faire. Je me trouve un peu perdu tout à coup. Je n'imaginais pas du tout cette situation. Jacques m'emmène dans ce qui sera ma chambre.

  • Tu dormiras ici quand je n'aurais pas besoin de toi. Ton lit sera fait comme il l'est actuellement. Tes affaires toujours rangées. Le jour où j'ai besoin de la chambre, tu dormiras dans le salon.

La chambre n'est pas bien grande. Un lit de deux personnes, une commode, une chaise et un placard. Près du lit, une petite tablette avec un tiroir et une lampe de chevet. Aucune décoration au mur, juste un mur blanc.

  • Je te laisse t'installer.

M'installer ? mais je n'ai rien sur moi. Je suis à poil dans cette pièce. Je teste le lit. Pas trop mal. J'ouvre le placard... Rien de plus que tout à l'heure. J'ouvre les trois tiroirs de la commode. L'un d'eux contient les sous-vêtements, un autre des draps, un troisième des serviettes de toilette.

J'ouvre la porte, regarde un peu autour... Je me dirige vers la salle de bain : grande baignoire, douche séparée, wc et lavabo. Encore un placard... La salle de bain est presque aussi grande que ma chambre. Jacques est derrière moi. Il m'enlace et prend ma bite. Il me branle lentement, ce qui évidemment me fait un effet immédiat.

Il me tient par la bite et m'entraîne dans le salon. Il me suce et ce qui devait arriver arriva, je lâche la purée. Il m'ordonne de tout nettoyer avec ma bouche. Puis quand c'est terminé, il m'annonce qu'il va m'empêcher de jouir en dehors de sa présence. Il me présente un objet qui ressemble à une petite cage. Quand j'ai bien débandé, il me passe un anneau puis me fixe la bite dans la cage et ferme le tout avec un petit cadenas. Il vérifie qu'on ne peut pas l'enlever. C'est froid, c'est serré, ma bite est recourbée. Ça m'excite un peu mais quand je commence à bander, la cage se remplit très vite et ma bite ne peut pas grossir comme je le voudrais.

  • Et comment je fais pour pisser ?

  • Tu pisseras assis ! et tu n'oublieras pas de bien nettoyer sinon l'infection te guette tant que tu n'es pas circoncis.

Voilà à peine trois heures que je suis là et me voilà déjà la merci de Jacques. Je ne peux même plus disposer de ma bite comme bon me semble... Je n'imaginais pas ça. Il m'emmène à la cuisine pour préparer le repas. Il est presque 14 heures ! On mange puis il m'annonce que l'on va aller tout de suite au salon d'épilation. Je panique un peu. Il m'ôte la cage et me donne des vêtements à porter : un mini slip, un short un tee shirt et des baskets. Nous partons dans un centre esthétique où visiblement il est connu.

Une dame lui fait la bise à l'entrée.

  • Bonjour Jacques, tu as avancé le rendez-vous ? aujourd'hui je n'ai que des esthéticiennes, Ludo n'est pas là...

  • C'est pour le jeune homme. C'est Cédric. C'est un bon nageur, mais il faudrait l'épiler, ça aide.

  • Suivez-moi jeune homme.

Je suis la dame qui m'emmène dans une cabine. Elle me demande de me déshabiller et d'enfiler un string qu'elle me remet. Quand je serai prêt je dois aller dans la petite pièce sur ma droite. Je fais ce qu'elle me demande. Le fait d'enfiler ce string gonfle un peu ma bite, mais j'essaie de penser à autre chose pour ne pas bander. J'arrive dans la petite pièce où il y a une table avec des serviettes dessus. Un jeune fille d'environ 25 ans entre dans la pièce et me demande de m'installer sur la table. Je ne sais trop quelle position prendre. Elle me dit que nous allons commencer par le dos. Je dois donc m'allonger sur le ventre. Elle prépare ses instruments et m'annonce qu'elle va m'épiler les jambes et les fesses. Je lui dis que c'est ce qui est prévu. Elle commence par les fesses. La cire est assez chaude. Elle me pose ensuite des tissus qu'elle retire d'un seul coup. La surprise me fait me contracter et pousser un cri. Je ne bande plus du tout ! ça fait très mal ! Jacques apparaît.

  • Ne soit pas douillet ! Allez-y mademoiselle, et faites aussi l'intérieur

L'esthéticienne continue son oeuvre. La douleur est intenable lorsqu'elle fait les mollets. Heureusement elle m'enduit d'une crème lorsque la jambe est terminée. Elle me demande ensuite de me retourner. Jacques lui précise que l'épilation doit être intégrale et me recommande d'enlever le string. Je n'ose pas broncher et je retire la dernière barrière qui me protéger de ma nudité. Je vois le visage de la jeune fille qui vire au rouge. Je m'allonge maintenant sur le dos. L'esthéticienne s'occupe d'abord des quelques poils que j'ai sur le torse. Ce n'est pas le plus douloureux. Elle s'occupe ensuite de mes jambes, ce qui est une nouvelle t o r t u r e . Enfin elle s'occupe de ma bite et de mes couilles. Elles étaient rasées, mais quelques poils avaient repoussé. Elle fait mon service trois pièces avec de la cire moins chaude, heureusement ! Mais c'est extrêmement douloureux ! j'en ai les larmes aux yeux. Je peux remettre mon string. Elle s'occupe, pour terminer de mes aisselles et de mes bras. Quand elle a terminé, je suis à bout. Elle nous laisse, Jacques et moi dans la pièce. Jacques en profite pour me caresser

  • Tu es superbe comme ça ! le petit prépuce en moins et ce sera parfait !

Puis il me suce. Je bande très fort. J'essaie de me retenir, mais j'éjacule finalement dans sa bouche. Il m'embrasse et me rend toute ma semence. Il m'entraîne ensuite dans le couloir pour me ramener à la cabine. Nous croisons la dame qui nous a accueillis

  • Beau travail, n'est-ce pas Jacques ?

  • Oui, c'est toujours très bien ici !

La dame me regarde des pieds à la tête et fixe mon sexe un peu rougi par la séance passée. Dans la cabine, Jacques me remet la petite cage. Puis je peux me rhabiller. Nous rentrons chez lui. Je n'ai pas l'habitude de marcher avec cette cage. Ça me frotte un peu les cuisses, mais finalement, on s'y fait. Aux toilettes, je suis obligé de m'asseoir, ce qui me manque c'est de faire tomber la dernière goutte !

Deux semaines passent. Chaque jour j'étudie. J'ai appris au cours de ces semaines que Jacques dirigeait une importante entreprise avec plusieurs filiales. Il m'aide donc dans mes études. Il reste une semaine avant la reprise des cours. Chaque soir, Je dors avec Jacques qui s'occupe de moi. Pour le moment, je n'ai pas eu trop de correction. Une fessée, le plus souvent à mains nues et quelques coups de martinet. J'ai bien supporté l'ensemble.

Un jour, il m'a laissé seul dans l'appartement. J'ai fait comme d'habitude : ménage, études... En fin d'après-midi, j'entends déjà la clef dans la serrure. Ma surprise fut immense. Jacques était accompagné d'un autre homme, tout émoustillé à me voir dans l'appartement.

Je ne sais plus où me mettre. J'essaie de mettre mes mains devant mon sexe, mais inutile, le jock cache l'essentiel. Jacques me présente

  • C'est Cédric, mon stagiaire. Il débute encore

  • Bonjour Cédric

  • Bj'r m'sieur

  • Tu as l'air en forme ! Tu as quel âge ?

  • Il a 19 ans, il est nageur et étudiant. Mais assez parlé de lui...

Je suis là debout, ne sachant quelle posture prendre pour être le plus à l'aise.

  • Cédric aime la fessée ! tu veux essayer ?

  • Pourquoi pas ?

  • Cédric, viens voir Patrick

Patrick devait avoir le même âge que Jacques. Il était plus costaud que Jacques, brun avec une barbe naissante. Il était plus petit, mais plus trapu. Je m'approche. Il sentait l'eau de toilette.

  • Montres moi tes fesses

Je me mets dos à Patrick qui commence à me caresser les fesses. Je sens ma bite qui veut grossir, mais qui est freinée par cette cage. Ça me fait mal.

  • Viens, allonges-toi sur mes genoux

J'obtempère. Jacques nous regarde, une canette à la main.

  • Son cul est vierge ! ne l'abîme pas

  • Je vais juste regarder

Et là Patrick m'enfonce un doigt dans le cul. Ma réaction est immédiate. Je pousse un cri inattendu. Et là je reçois une première claque

  • Ah, il n'aime pas ça ? il va en avoir pourtant !

Et la fessée commence. A chaque coup de sa main je sens la chaleur m'envahir. Il frappe irrégulièrement, ce qui accroît l'effet de panique quand la main claque la fesse. A chaque coup, il commente : petites fesses, bien bombées, beau cul, pas de poils... A chaque fois, il frappe plus fort. Je me tiens à son pantalon pour ne pas tomber et surtout pour retenir mes cris. Il me fait mal, plus que Jacques.

Quand il s'arrête, jacques et patrick m'emmènent dans la chambre et m'attachent au lit sur le ventre. Mon cul est offert à ces deux hommes qui commentent. Jacques s'approche de moi et me dit qu'ils vont s'occuper de mon cul. Il me dit de me détendre que ça fera un peu mal mais qu'ensuite ce sera très bon.

  • Vas-y doucement, je n'ai jamais été enculé !

  • Qui te parle de t'enculer. Pour commencer il faut te détendre.

Patrick se met à me lécher le cul. Sa barbe me gratte un peu les fesses. Mais il lèche divinement. Je ne peux toujours pas bander et ça me fait très mal. J'essaie de me concentrer sur la langue de patrick, qui s'enfonce en moi. Puis Jacques prend le relais, il met un petit gel et enfonce un doigt, doucement. Je sens son doigt s'introduire de plus en plus. Ça me fait un drôle d'effet. Se détendre ? comment ? il me conseille de pousser légèrement. Effectivement, son doigt s'enfonce davantage... puis il en met un deuxième. Quand il le retire, ça fait un bruit de bouchon. Il recommence, puis approche ses doigts de ma bouche pour que je les lèche. J'ai des hauts le coeur, mais ça passe... ça dure un moment, j'ai soif... pourquoi j'ai soif ? je suis mal à l'aise dans cette position. Je vois jacques aller dans le tiroir de la commode, là où j'ai vu les godes. Il en sort un petit qu'il me présente.

  • Tu vois, c'est à peine plus gros que mes deux doigts. Il n'est pas très long. On va te l'introduire et tu vas faire le maximum pour le retenir.

Très lentement, il m'enfonce l'objet. Je respire très fort. J'essaie de me détendre, mais c'est de plus en plus difficile. J'ai une suée. Patrick me donne à boire. Et la séance reprend. Il graisse l'objet et me l'enfonce, lentement, pas petits bouts. Ca y est, il est en moi, je sens que je peux le retenir si je ne pousse pas. Jacques et Patrick ont l'air satisfait. Ils s'embrassent goulûment puis se déshabillent. Patrick me présente sa queue. Beaucoup plus grosse que celle de Jacques. Je le suce machinalement, un peu épuisé avec ce truc dans le cul. Elle a un goût salé et amer. Jacques le remplace très vite. Sa queue est bien meilleure ! pendant que je suce jacques, patrick le caresse et lui lèche le cul. Puis Jacques lâche sa purée dans ma bouche. J'avale tout. C'est bon... je nettoie bien sa queue. Patrick me représente la sienne mais je ne veux pas qu'il éjacule dans ma bouche. Je fais des yeux désespérés vers Jacques. Il finit Patrick à la main et c'est mon visage qui reçoit le tout.

Ils quittent la pièce. Je reste seul un long moment. N'y tenant plus, j'appelle Jacques, qui entre furieux :

  • C'est toi qui m'appelle ? Mais c'est le monde à l'envers. C'est qui le maître ici ? je te laisse le temps qui me plaît !

  • S'il te plait, détaches-moi

Et je me mets à pleurer comme un gosse.

  • Je t'en prie, j'ai mal au ventre, je me sens sale...

  • Ce n'est pas le moment

Et il me laisse à nouveau seul. Je pleure. Un bon moment plus tard, Jacques revient un martinet à la main.

  • Tu me fais honte devant mes amis ! tu ne dois pas m'interpeller comme ça

Et il se met à me donner des coups de martinet. Les lanières claquent sur mes fesses et mon dos. Je crie mais rien ne l'arrête. Ça brûle, beaucoup plus que les fessées à la main. Et en plus ça enfonce le gode. Je crie, je pleure... Et tout à coup, ça s'arrête. Sans un mot, il me détache, me jette une serviette et me traîne dans la salle de bain. Il me met sous la douche froide. Je frissonne. Il ne m'a même pas enlevé le jock.

Quand la douche est terminée, il me dit que je peux enlever le gode et me sécher. C'est presque aussi douloureux à enlever qu'à enfoncer. Mais ça soulage une fois qu'il est sorti. Je me sèche en tremblant. J'ai froid...

Jacques m'ordonne ensuite de le rejoindre. Il regarde mes fesses et me soigne les blessures. Visiblement, il y est allé un peu fort... Le soir est tombé. Il m'a autorisé à manger à table mais nu. Ensuite il m'a enlevé la cage et m'a sucé délicieusement. Il a récupéré mon sperme dans un petit pot qu'il m'a demandé de nettoyer avec la bouche. Ensuite j'ai dormi près de lui. Il m'a réchauffé et la nuit j'ai bandé ! j'ai bandé ! j'ai bandé !

Le lendemain j'ai dû le soulager dès le matin. Puis il est parti au travail. Je suis allé à l'université. Je me suis habillé avec les vêtements préparés.

Chaque soir je rentrais chez lui. Il m'a initié à des pratiques que je ne connaissais pas. Pendant plusieurs mois il s'est eff o r c é d'élargir mon cul. Enfin, les vacances de printemps sont arrivées. Nous sommes partis ensemble direction la clinique.

La clinique

Voilà maintenant quelques mois que Jacques et moi vivons ensemble. Il me laisse aller étudier et à la suite de la signature d'un contrat je suis à son service particulier. Il m'a initié, moi, puceau, à des pratiques sexuelles que je n'imaginais même pas. Je reçois maintenant sa queue en moi, que ce soit dans ma bouche ou dans mon cul. Il m'a aussi initié à un rituel : chaque matin je dois me mettre à genoux et tenir sa queue avec la bouche pendant qu'il pisse. Je dois ensuite le nettoyer. Les premières fois j'avais envie de vomir mais après quelques jours d'entraînement je me suis habitué au goût. Chaque jour, ou presque j'avais droit à une correction, quel que soit le prétexte. Mais Jacques était mon maître, mon amant, mon guide. Je lui étais entièrement dévoué. Certes il avait des amis plutôt brutaux dont un certain Jean-Marc qui m'a un jour fessé. J'ai conservé pendant plusieurs jours les marques de la soirée.

Il restait un point du contrat que Jacques n'avait pas oublié : me faire circoncire. Dès le début de notre rencontre, il avait insisté sur ce point. Il estimé que c'est un cadeau et un acte de soumission totale que je pourrai lui offrir. Il avait déjà pris rendez-vous dans une clinique dont il connaissait le chirurgien. Les vacances de printemps arrivèrent et Jacques me rappela ce point du contrat.

Le premier samedi des vacances d'avril, Jacques me donna des vêtements plutôt corrects, alors qu'habituellement le samedi je reste en jock strap. Un sweat, un jean, des baskets et un slip normal comme sous-vêtement. Comble du luxe, Jacques me retira la cage qui m'emprisonnait la queue durant la journée. Nous prenons sa BMW pour nous rendre à la clinique. Elle se trouve à une quarantaine de kilomètres de Bordeaux. Durant le trajet, il me parla un peu de lui. J'ai enfin appris son véritable âge. Moi qui lui donnais une trentaine d'années, il en avait en fait plus de 40. Il était l'héritier unique d'une riche famille et dirigeait plusieurs entreprises en métropole, mais aussi des filiales à l'étranger : bénélux et pays méditerranéens. Il voulait m'embaucher dans son entreprise pour que je sois à son service jour et nuit ! Mais ça, il en reparlerait plus tard...

Nous arrivons à la clinique. L'hôtesse d'accueil nous dirige vers le bureau du chirurgien. Nous avons attendu quelques instants, puis nous sommes rentrés dans le bureau. Quelques formalités d'usage : identité, allergies... Rien à signaler, j'étais en bonne forme. Michel, c'était le prénom du chirurgien, me demanda ensuite de me déshabiller pour m'examiner. Je gardais mon slip, mais très vite il me dit que je cachais l'essentiel de son travail. Je compris que je devais l'ôter. Il m'installa sur la table d'occultation et m'expliqua brièvement comment aller se passer l'opération. Il retroussa mon prépuce, ce qui eut pour effet de me faire bander. Il me flatta sur la taille de ma bite en me prévenant que la circoncision n'affecterait pas mes sensations mais que dans les premiers temps après l'opération, je pourrais avoir mal. Il regarda Jacques et lui dit :

  • Tu continues à le faire épiler, ça nous évitera de le raser ! et puis c'est tellement plus beau !

  • Bien sûr, je le veux totalement nu ! tu me connais !

Puis le chirurgien s'adresse à moi et m'explique ce qu'il va faire :

  • C'est très simple, je t'enlève le prépuce autour de ton sexe. Tu arrives le matin, tu repars le soir. Quelques petits soins, maximum un mois pour te remettre. As-tu des questions ?

  • Oui. Ça fait mal ? je pourrai bander après ? est-ce qu'il y a des risques ?

  • Mal ? non ! ce sera un peu sensible... tu garderas toutes tes fonctions actuelles, tu pourras bander même si au début ce sera un peu douloureux. Enfin pour ta dernière question, il y a toujours des risques dans une opération, mais on essaie de les limiter. Rassuré ?

Rassuré ? je l'étais plus ou moins Le chirurgien passa un coup de fil. Il s'agissait de l'anesthésiste qui devait également me voir. Pendant ce temps, je restais nu, à moitié bandant, sur la table. Le chirurgien revint vers moi et commença à m'examiner plus en détail, commentant ces observations :

  • Bien, les dents saines ! pas de boutons, plutôt belle peau... Des muscles bien dessinés... Tu as plutôt bon goût mon Jacques !

L'anesthésiste entra dans le bureau et nous rejoint. Il me salue. Je suis un peu gêné de me trouver dans cette tenue et je ne réponds pas immédiatement. Puis il me pose des questions sur ma santé, mes opérations, mes antécédents... Je réponds du mieux que je peux

  • Je n'ai jamais été opéré et je n'ai aucune allergie connue à ce jour. J'ai été quelquefois malade mais comme tout le monde.

Une infirmière entre à son tour. Elle me fait une prise de s a n g . Là encore, je suis très gêné. J'essaie de cacher mon sexe sans poil, mais elle me prend le bras pour faire la prise de s a n g .

  • Serrez le poing, regardez ailleurs...

Elle me pique la seringue... ce qui me fait débander d'un coup ! je regarde quand même le s a n g couler dans les petites fioles. Elle me fait ensuite plier le bras. Elle a posé quelques instruments sur mon ventre et lorsqu'elle les reprend, elle frôle ma queue. L'effet ne se fait pas attendre ce qui a l'air d'étonner Jacques.

L'infirmière et l'anesthésiste sortis, le chirurgien me dit que je peux me rhabiller. Il dit à Jacques que les résultats seront connus d'ici deux jours et fixe le rendez-vous pour l'intervention en juin.

  • Si tard ? tu ne peux pas lui faire dans 3 jours ?

  • Tu es si pressé ?

  • Oui, j'ai d'autres projets pour lui, en juin !

J'écoute d'une oreille pendant que je me rhabille. Le chirurgien consulte son agenda et fixe le rendez-vous pour le jeudi suivant. Jacques le remercie. Nous nous saluons et nous quittons la clinique.

Nous reprenons la voiture. Je pensais que nous retournions à Bordeaux, mais Jacques prend un autre chemin et nous arrivons dans le parc d'une superbe villa. Il me dit que c'est sa résidence pour les vacances, qu'il y vient rarement, mais que nous allons nous installer là le temps qu'il faudra pour l'opération et ses suites. Il me fait visiter les lieux : une grande villa avec piscine, 4 chambres, un grand espace à vivre, une cuisine avec un coin repas. La villa est bien meublée. Il me désigne une chambre plutôt spacieuse par rapport à celle de l'appartement. Il a tout prévu : des vêtements, des réserves de nourriture... Il me prévient qu'ici ce sera le même traitement qu'à l'appartement ! et il me montre quelques instruments qu'il pourrait utiliser : une cravache, un martinet, des menottes...

Nous sommes dans la deuxième quinzaine d'avril. Le temps est plutôt beau le jour, mais le soir, le froid domine encore. La villa est chauffée et j'ai donc pour ordre de vivre à poil dans la villa. Dès la visite terminée, je dois donc me déshabiller. Jacques me prend alors et m'embrasse

  • Je suis content ! tu vas être à moi, vraiment dès que ton petit bout de viande sera parti. Tu me donnes une vraie preuve d'amour. Je t'aime beaucoup Cédric.

Il me caresse, ce qui était plutôt inhabituel chez lui puis m'emmène dans sa chambre. Nous faisons l'amour normalement, sans b r u t a l i t é . Il me pénètre doucement sans f o r c e r tout en me branlant. Comme à son habitude il me fait nettoyer mon sperme sur ses mains. Et puis, la domination prend le dessus, cette nuit je dormirai aux pieds de son lit. Il m'accorde une couverture mais c'est tout ! Durant la nuit, je l'entends se retourner plusieurs fois. J'ai beaucoup de mal à dormir. Le lendemain, je suis plutôt fatigué, mais je dois m'activer aux tâches ménagères. Je casse un bol et une assiette, ce qui me vaut une correction. J'ai reçu 15 coups de cravache sur les fesses.

Il m'a administré les coups progressivement, par série de cinq. Je devais compter les coups. Les cinq premiers furent légers, les cinq suivants furent plus soutenus. Les cinq derniers furent v i o l ents. Je gardais les fesses nues le reste de la journée, et j'avais beaucoup de mal à m'assoir. Ce jour là, j'ai également découvert une nouvelle façon de manger. Jacques me demanda de ne plus manger en face de lui, à table, mais à ses pieds. Je devais me mettre à genoux, près de lui et il m'envoyait la nourriture. Si je ne l'attrapais pas, je devais la ramasser sans y mettre les mains. Moi qui étais dégoûté de manger après quelqu'un quand j'étais chez mes parents, je ne me reconnaissais plus... Le lundi et le mardi furent des journées identiques au dimanche.

Chaque repas, je les prenais par terre, comme un chien. Le mardi soir je fus autorisé à dormir dans ma chambre. Le mercredi se passa bien. Jacques me reconsidéra comme un " humain " et j'eus le droit de me reposer une grande partie de la journée. Dans l'après-midi, il m'amena dans un salon d'épilation. Ce n'était pas le salon habituel, mais l'esthéticienne qui nous accueillit ne sembla pas étonnée. Les épilations ne me faisaient plus réagir. Certes ce n'était pas agréable, mais les souffrances de la première séance n'étaient plus présentes. Le soir, il me laissa tranquille. Nous avons passé la soirée à discuter des projets qu'il avait pour moi. Il voulait que je devienne son secrétaire particulier et son chauffeur.

  • Chauffeur ? mais je n'ai même pas le permis !

  • Tu l'auras pour septembre !

Il me parla également d'une école dans laquelle il souhaitait m'inscrire à partir de juin.

  • Tu verras, tu auras des cours qui te seront utiles pour ta vie professionnelle et pour ta vie tout court ! mais surtout pour ta vie avec moi...

  • C'est quoi comme école ?

  • La surprise sera plus grande si je ne te dis rien !

Le jeudi matin, je devais rester à jeun. Jacques me donne un short assez large et un tee-shirt ainsi qu'une veste de survêtement.

  • Tiens, mets juste ça ! tu verras, en sortant, tu seras plus à l'aise.

En sortant de la villa, j'ai un peu froid aux jambes, mais sans plus. Je monte dans la voiture, direction la clinique.

A la clinique nous sommes accueillis par une infirmière qui me prend en charge. Jacques nous suit dans la chambre. Elle m'explique que je dois me doucher avec de la bétadine et ensuite rester nu sous une chemise prête sur le lit. Jacques s'occupe de me laver, ce qu'il n'avait jamais fait puis j'enfile la chemise qui m'arrive au milieu des cuisses et qui laisse le dos apparent. Je m'allonge sur le lit et attend. Un garçon de salle vient pour me donner un cachet et me dit qu'il va me raser. Jacques rit doucement. Quand il soulève la chemise, il s'aperçoit que je suis épilé.

  • Je vois que tout est net ! parfait !

Un petit clin d'oeil et il disparaît. Moins d'une heure après je suis pris en charge. Je suis à moitié dans les vaps. On m'emmène au bloc. Je reconnais Michel qui est accompagné de l'anesthésiste. Je respire dans un casque en comptant à rebours. Je m'endors !

Quand je me réveille, je suis encore dans les vaps. Je reconnais Jacques près de moi et Michel qui me parle. A peine une heure s'est écoulée pour l'opération. Ça y est, je suis circoncis.

Je passe la matinée dans la chambre. Un infirmier vient me voir régulièrement pour prendre la tension et regarder le pansement. Il touche de deux doigts mon membre. A chaque fois Jacques le surveille. Puis en fin de matinée, il m'annonce qu'il change le pansement et qu'ensuite je pourrai sortir. Il me change effectivement le pansement. Je ne sens pas grand-chose, sans doute des anti douleurs dans la perf. Michel entre à son tour, regarde l'état de ma bite et confirme que je pourrai sortir très vite. Il me conseille de rester nu la nuit et de porter des pantalons amples pendant quelques jours. Jacques lui confirme que je ferai ce qu'il dit.

Pour le retour à la villa, le short ample m'a très bien convenu. Les frottements étaient parfois douloureux mais sans plus.

Les trois semaines suivantes, je les ai vécues totalement à poils. Le temps se radoucissait même s'il y avait des jours moins chauds. Je continuais les quelques tâches ménagères, même si Jacques ne me corrigeait plus. Chaque jour, il s'occupait de vérifier l'état de ma bite. Je m'habituais progressivement à ma nouvelle queue, sans prépuce. Le plus difficile, au début, c'était la nuit, quand je bandais, je me réveillais. Puis la douleur s'est atténuée. J'ai pissé normalement. Durant ces semaines, j'aimais sucer Jacques et lui lécher le cul, mais j'évitais de me coller à lui. Il a compris que c'était un peu douloureux. Quand je fus remis, Jacques me suça longuement. Il semblait apprécier la nouvelle forme de ma bite et quand j'éjaculais abondamment dans sa bouche, il en avala une partie avant de me rendre le surplus. Puis il décida que je devais porter un anneau à son nom. Il me fit donc percer l'oreille pour y poser l'anneau.

Je n'ai pas repris les cours. De toute façon, Jacques m'a annoncé que je passerai mes examens d'une autre manière. Il tenait à ce que j'apprenne une langue supplémentaire, je parlais déjà anglais et allemand et un peu espagnol. L'école à laquelle il m'avait inscrit m'enseignerait ce qui me manquait.

Au cours du mois de mai, j'ai dû compléter mon enseignement en espagnol. Les coups de fouet, de martinet et de cravache ont repris. Je dormais le plus souvent dans son lit, mais quelquefois, en pleine nuit, il me balançait à terre et je devais finir la nuit, tout nu sur le sol. Un soir il a décidé que je ne devais plus me servir de mes mains. Il ma menotté les mains dans le dos et j'ai passé la soirée sans pouvoir utiliser mes mains. Durant cette période à la villa, il n'a reçu aucun de ses amis. Il a beaucoup travaillé par téléphone et par informatique. C'était le début des téléphones portables, mais il n'en possédait pas encore. Puis arriva le jour où il m'annonça mon départ pour l'école.

  • Demain, tu t'habilleras avec le costume de collégien anglais. Départ 7 heures, lever 6 heures !

Je n'ai pas discuté. J'ai dormi dans ma chambre, je me suis branlé en fantasmant sur cette école. A 6 heures, Jacques est déjà prêt. Il porte un costume avec cravate, très soigné. Il arrive dans ma chambre et me remet la cage autour de mon pénis.ça faisait plus d'un mois que je ne l'avais pas portée ! Ce n'était plus la même, elle me semblait plus petite et plus recourbée vers l'intérieur. Il me glisse un anneau qui entoure verge et couilles puis fixe la cage et enfin la ferme avec le mini-cadenas.

  • Je garde la clef sur moi. Maintenant habilles-toi.

Je passe à la salle de bain. Cette cage m'obsède. Si je dois me mettre nu devant d'autres gars je ne vais pas avoir l'air très malin ! Je suis obligé de pisser assis ou accroupi. Pour le nettoyage, je passe le pommeau de douche. En plus maintenant mon gland frotte directement sur cet engin et ça me démange un peu. Je mets les vêtements préparés par Jacques : le slip kangourou, un bermuda bleu marine jusqu'aux genoux, une chemise à courtes manches, blanche avec une cravate bleu marine, des chaussettes qui montent jusqu'aux genoux, souliers, blazer avec un écusson représentant une bite en érection. Je suis prêt largement avant l'heure fatidique. Pas de petit déjeuner ce matin. Je monte dans la voiture et nous partons, direction l'ouest du département de la Gironde. Nous mettons un peu plus d'une heure avant d'arriver à " l'école ".

Le domaine de Saugon

Nous arrivons à l'entrée d'un domaine assez impressionnant. Une grande grille avec une plaque " Domaine de Saugon ". Jacques sonne à l'entrée et la grille s'ouvre. Nous traversons un bois planté de pins maritimes. Je remarque qu'il y a une piste ou plutôt un parcours sportif sur les côtés. Le trajet fait près de 3km au compteur. Jacques se gare dans une cour pavée, devant une bâtisse imposante : un bâtiment central sur 3 étages entouré de deux ailes comprenant le rez-de-chaussée, un étage et des fenêtres sous les toits. Un grand escalier mène au bâtiment central. Jacques me demande de rester dans la voiture. Je remarque déjà deux autres voitures garées. Dans chacune d'elles il y a quelqu'un, sans doute un futur élève, comme moi.

J'attends un petit quart d'heure, pendant lequel j'observe un peu tout ce qui m'entoure. Il est environ 10 heures, et j'ai faim... Jacques revient,. Il est accompagné de deux autres personnes qui vont chacune à leur voiture. Je descends de la voiture pour accompagner Jacques. Les autres garçons en font autant. Ils ont le même costume que moi et je les trouve un peu ridicule, mais je dois avoir le même aspect. En haut des marches, une double porte vitrée donne accès dans un grand hall. Très haut de plafond, un superbe lustre est au centre de la pièce. Des portes imposantes devant et sur les côtés. Le sol est fait de carreaux noir et blanc. Jacques et moi sommes en tête. Jacques ouvre une porte au fond de la pièce. Un escalier assez imposant se présente à nous. Nous montons au premier. Là, il me demande de m'asseoir sur le banc devant la fenêtre. Il se dirige vers la droite de l'escalier. Mes deux futurs collègues me rejoignent sur le banc.

Nous nous serrons la main et nous présentons. Il y a Thierry qui a 27 ans et Marco qui lui a déjà 30 ans. Thierry est le plus petit de nous trois, il fait environ 1M65, il est très brun, les cheveux mi longs qui tombent sur son front.

Ça lui donne un air de collégien... Marco doit faire 1M75, il est un peu trapu. Ses cheveux bruns aussi sont coupés très courts, mais pas rasés. Il a même une barbe naissante. Thierry semble le plus inquiet de nous trois. Il arrive ici pour s'endurcir lui a dit son maître. Marco semble le plus informé il sait que nous suivrons des séances qui nous permettront d'être plus endurants, son inquiétude porte sur le fait qu'il n'est pas très sportif ! Marco est ici parce que son maître le trouve trop désobéissant ! Trois autres garçons nous rejoignent bientôt. Il y a maintenant Yves, 23 ans, châtain clair avec une boucle à chaque oreille. Il est de nous tous le plus grand. Il doit faire 1M90 mais il n'est pas très baraqué. Il dit être ici pour quelques jours... je crois qu'il se fait des idées. Jean-Luc lui a des cheveux longs qui arrivent à son cou.

Il est très blond. Il est à peine un peu plus grand que Thierry, sans doute 1M70 mais il semble assez musclé. Il a un cou carré qui montre qu'il fait de la muscu. Il a 25 ans. Enfin le dernier, Rémi semble un peu affolé. Brun, est de la même taille que moi, soit 1M80. Lui a les cheveux rasés et comme moi, il a un anneau avec un nom à son oreille gauche. Il se pose près de moi et me demande si je sais ce qui nous attend. Lui a 22 ans. Ne connaissant pas tous les détails, je lui réponds que non, mais que nous ne devons pas nous inquiéter... Jean-Luc plaisante sur les décorations de nos blazers : une bite en érection. Rémi et Thierry disent qu'ils aimeraient bien manger quelque chose, je les approuve. Nous attendons sur notre banc, observant les lieux, faisant des remarques sans intérêt. Presque une heure s'est écoulée quand un homme d'une cinquantaine d'années vient vers nous

  • Debout ! et silence ! Je vais vous expliquer le fonctionnement de cette école et je ne le répèterai pas deux fois. Je suis Monsieur Thomas ou Maître Thomas...

Puis il nous explique que nous serons donc 6 garçons à suivre un enseignement durant les trois mois à venir. Il nous présente ensuite, en gros, le contenu de chaque journée : Le matin commencera par une séance sportive dès le lever, à 6 h. Puis des cours seront dispensés en fonction des choix de nos maîtres. L'après-midi sera consacrée à notre perfectionnement. Aujourd'hui, nous serons essentiellement testés sur nos capacités. La journée à l'école commencera par une visite médicale, après quoi, Monsieur Thomas nous fera visiter les lieux qui nous seront accessibles et nous donnera les dernières consignes. Yves l'interpelle

  • Une visite médicale ? je suis en bonne santé ! et je pars dans moins d'une semaine !

Pour toute réponse, il reçoit une paire de gifles de Thomas qui le remet à sa place

  • Tu es ici pour 3 mois et tu n'as pas à m'interrompre ! tu feras ce que je dis, tu iras où je te dis ! Tout ce que tu feras ici c'est quand je le voudrai ! Est-ce clair pour tous ?

Presqu'en choeur, tout le monde dit oui

  • C'est OUI MONSIEUR !

Et nous reprenons : oui monsieur.

Monsieur Thomas nous demande de le suivre, les uns derrière les autres, du plus petit au plus grand. Je me retrouve avant dernier de la file. Nous devons marcher les uns derrière les autres, sans parler. Nous suivons un couloir

  • Voici l'infirmerie, vous vous déshabillez entièrement et vous attendez sur le banc. Posez vos affaires sur le vestiaire à votre nom, et le tout en silence, messieurs !

En effet, à l'entrée de l'infirmerie, il y a une salle équipée de 10 casiers et quelques bancs. Six des casiers ont une étiquette. Je trouve mon casier qui est juste à côté de celui de Rémi. Je vois Thierry et Yves qui ont déjà commencé à se déshabiller. J'hésite un peu à me déshabiller. J'ai très honte de me montrer avec ma bite prisonnière dans une cage mais je n'ai pas trop le choix. Monsieur Thomas est resté dans la pièce et nous demande de nous dépêcher.

Thierry est le premier à être à poil, il est suivi très vite de Marco puis de Rémi, enfin Yves, Jean-Luc et moi terminons de nous déshabiller. Évidemment tous les yeux sont rivés sur ma bite et son engin la bloquant.

Jean-Luc a une bite énorme. Elle est au repos mais est déjà très impressionnante. Elle repose sur deux bourses imposantes bien dessinées dans leur sac. On dirait des abricots ! Sa bite circoncise est très longue et le gland est assez évasé. Je me demande ce que ça donne en érection ! Marco lui, a une petite bite qui ne couvre même pas ses couilles. Il n'est pas rasé, contrairement à Rémi, Yves Jean-Luc et moi. Sa bite se perd dans sa forêt de poils. Yves a, au bout du gland, un anneau, il en a un autre sous les couilles. Thierry n'est pas très poilu mais ses poils sont longs et couvrent au moins la moitié de sa bite. Au niveau pilosité, c'est Marco qui gagne : très poilu aux jambes et au torse il a aussi les fesses poilues. Je dois être le seul à être épilé totalement. Jean-Luc qui est blond n'est pas très poilu, mais ses jambes font des reflets dorés.

Nos maîtres nous ont rejoints. Jacques est de loin le plus distingué. Je l'implore des yeux de me retirer la cage, mais il me fait signe que non. Nous entrons dans la pièce où un infirmier ou un médecin nous demande de se mettre les uns derrière les autres. Nous nous exécutons, je suis l'avant dernier devant Yves.

Un infirmier en tablier blanc nous fait monter sur une balance puis nous mesure. Après chaque passage, nous devons nous remettre en rang. Je remarque que Thierry commence à bander légèrement Il est pour le moment le seul. Comme nous sommes proches les uns des autrres, je sens la bite de Yves me frotter les fesses quand nous sommes à attendre. Son anneau me fait un drôle d'effet sur les fesses. L'infirmier vérifie ensuite les dents, les oreilles puis prend la tension. A chaque fois il note quelque chose sur ses fiches. Nous devons à nouveau attendre, debout, les uns derrière les autres, pratiquement collés les uns aux autres. Maintenant, je sens la bite de Yves qui a pris de l'ampleur. Comme nous devons garder les mains le long de nos cuisses, il ne peut pas cacher son érection. Il me colle donc. Moi aussi ça me fait de l'effet, je sens ma bite gonfler mais je ne peux pas bander librement. L'infirmier nous remet chacun un pot.

Nous devons uriner. Je regarde Jacques qui ne bronche pas. Je suis le seul à avoir cette cage. Je suis obligé de m'accroupir pour viser dans ce pot, ce qui ne manque pas de faire rire les maîtres. J'ai du mal à pisser, mais j'arrive à la moitié du pot. Je secoue un maximum ma bite et je me redresse. Les autres ont déjà terminé. Yves ne bande plus, mais nous devons reprendre notre pose d'attente, les uns derrière les autres. Chacun notre tour, nous devons maintenant nous mettre sur une table d'auscultation. D'abord sur le dos, puis à quatre pattes. Chaque examen dure environ une demi-heure. Quelques questions sont posées à chacun, relativement discrètement. Nos maîtres regardent la scène avec attention. Le toucher rectal provoque à la plupart d'entre nous une érection. La mienne est très avortée par la cage que je porte. La bite de Jean-Luc est vraiment très impressionnante. Elle dépasse son nombril ! Celle de Marco prend du volume en épaisseur mais reste de loin la moins longue. Nous sommes maintenant dans l'après-midi. Après chaque examen nous devions attendre debout, collé contre notre collègue.

Thierry doit bien sentir la bite de Jean-Luc entre ses fesses. Quand Yves, le dernier, est passé, monsieur Thomas nous annonce que nous passons chez le coiffeur. Nous le suivons, toujours à poil. Chacun d'entre nous est rasé de très près. Jean-Luc, qui avait une belle et longue chevelure, semble désespéré quand ses cheveux tombent à terre. Je suis le seul à ne pas passer sur le fauteuil du coiffeur, étant déjà rasé. Du coup, je suis chargé de balayer la pièce de tous les cheveux tombés. Quand j'ai terminé, on nous demande de nous asseoir sur les deux bancs qui sont à l'entrée de la salle. Nous nous exécutons. Voilà plus de cinq heures que nous sommes arrivés, mon ventre fait du bruit et je ne suis pas le seul !

Monsieur Thomas nous apporte une petite bouteille d'eau et un morceau de brioche. Nous avalons le tout sans broncher et assez vite ! Monsieur Thomas nous demande de nous lever, nous allons pouvoir saluer nos maîtres. Nous sommes toujours à poil mais nous avons le droit de nous isoler un peu chacun avec notre maître. J'implore Jacques de me retirer la cage. Il m'explique que c'est mieux ainsi, que chacun des autres aura une marque de son maître et que la mienne, c'est la cage. J'essaie de trouver des excuses mais il reste inflexible. Il donnera la clef à Thomas, si jamais il y avait une urgence. Il me donne rendez-vous fin août, m'embrasse assez affectueusement. Il me recommande de bien respecter chaque consigne et me remet dans le rang avec les autres. Je le vois s'éloigner sans même se retourner. Thomas nous interpelle

  • Voilà, vous êtes ici pour un peu plus de 10 semaines. Je vous conduis à vos quartiers. Suivez-moi !

Marco lui demande si nous nous rhabillons. Thomas répond que nous n'avons pas à réfléchir. Il nous demande de le suivre, nous le suivons, comme nous sommes ! C'est donc à poil et les uns derrière les autres que nous suivons Thomas. Il nous fait passer plusieurs portes puis un escalier qui mène sous les toits de l'aile droite du bâtiment. Il ouvre à sa droite une pièce comportant dix lits répartis de part et d'autres des fenêtres qui se trouvent face à la porte. Sur six lits, il y a un trousseau qui sera le nôtre durant notre séjour. Draps, couverture, linge de toilette, savon, crème à raser, et des vêtements : tee shirt, short, mais aussi slips kangourou, jock strap, mini-slip chaussettes, une paire de baskets, une paire de toiles et une paire de tongs. Thomas nous montre ensuite, dans la pièce à côté, directement accessible par la chambre les toilettes et les douches. Les douches sont collectives prévues pour 10 personnes. Les toilettes sont des petites cabines, sans portes. Il y a cinq urinoirs et cinq WC. Enfin au face à la chambre, il y a une pièce avec une table et des tabourets.

  • C'est ici que vous prendrez vos repas. Cette pièce est également à votre disposition si vous avez des devoirs à faire. L'entretien sera assuré par vous-mêmes. Un gars par jour. Après chaque repas, il faudra rassembler les couvets, assiettes et déchets et mettre le tout dans le monte-charge. Il faut ensuite balayer et laver la pièce. Il y aura normalement 3 repas par jour, servis à heures fixes. Si vous le ratez, vous n'avez rien jusqu'au suivant. Pour les toilettes, c'est à heure fixe également. Si vous êtes malade, on verra. Enfin, douche obligatoire le matin après le sport et le soir avant le coucher, quel que soit l'heure. Les cours sont suivis en tenue de collégien, celle que vous portiez à votre arrivée. Les cours de sport en tee shirt, jock et short. A l'extérieur avec baskets et à l'intérieur avec toiles. Chaque soir, vous mettez la totalité des affaires que vous avez portées dans la boîte au pied de votre lit, à l'exception de la cravate, du blazer et des chaussures qui seront rangés dans le placard à l'entrée de la chambre.

Nous retournons ensuite dans la chambre. Chaque élément du trousseau est identifié à notre nom. Thomas nous demande de mettre un tee shirt, un short et les tongs. Ce que nous faisons. Il nous invite ensuite à ranger le reste de nos affaires puis à faire les lits.

Les lits sont espacés de moins d'un mètre. Nous sommes regroupés au plus près de la fenêtre. Thierry, moi et Rémi d'un côté, Marco Jean-Luc et Yves de l'autre. Il reste donc 4 lits inoccupés près de l'entrée.

Thomas est sorti de la pièce pendant que nous rangeons nos affaires. Chacun y va de son petit commentaire. Rémi s'intéresse beaucoup à ma bite. Et comment je fais pour bander ? pour juter ? est-ce que ça me gêne, comme je me lave etc etc... Je lui réponds que ça me gêne vraiment, que j'aurais envie de me branler mais que je ne peux pas. Les autres discutent de la bite de Jean-Luc, qui semble assez fier. Il se vante d'avoir eu beaucoup d'aventures avec des filles et des garçons. Il a 30 ans et il est maintenant au service d'un maître qui l'entretient. Son maître n'est pas brutal, il aime simplement exhiber son " apprenti " dans des soirées.

Thomas entre dans la salle. Nous ne savons pas trop comment réagir. Nous le regardons fixement. Il nous donne les dernières consignes : lits faits au carré, habits rangés dans les placards, tenue à respecter et surtout hygiène à respecter. Il s'approche de moi.

  • Cédric, je connais bien ton maître. Il m'a demandé de conserver la clef de ta cage. Tu es le seul à avoir ça ici, et je pense qu'à ton âge tu ne résisteras pas si longtemps. Je t'enlève donc cet instrument, mais tu devras la porter lors des cérémonies.

Et Thomas décadenasse la cage, la retire. Il me laisse l'anneau autour des couilles, mais je me sens déjà plus libre de mes mouvements. Les autres ont bien observé. Machinalement, je me détends la queue avec la main...

Thomas nous emmène maintenant au premier étage de l'aile droite : ce sont les salles de cours. Certaines ressemblent à des salles de classes de n'importe quelle école, d'autres semblent plus " spécialisées " : il y a des paillasses, des matelas à terre. Une autre semble être une salle de cinéma, sans tables ni chaises.

Au rez-de-chaussée, des cuisines, une salle avec des tables à repasser, des machines à laver..... Enfin, au sous-sol de cette aile, il y a dans une première partie une salle de sport avec quelques instruments et au fond une salle que Thomas qualifie de donjon ou de salle des t o r t u r e s. Rien de bon pour nous certainement. Il nous emmène ensuite dans le bâtiment central du côté opposé où nous sommes entrés : un parc avec une piscine et un court de tennis.

  • Quand vous aurez un moment de libre, vous pourrez aller dans le parc. La tenue sera toujours short, torse nu, pieds nus. Vous aurez accès à la piscine, mais à poil. Le court de tennis est réservé aux " gens de la maison ", ceux qui s'occuperont de vous. Ils sont une dizaine entre professeurs, cuisinier, femmes de chambre. L'autre aile n'est pas accessible. Vous ne pourrez y aller que si vous y êtes invité. Si je vous y trouve, vous serez puni ! Bien, messieurs, il est quasiment 20 h. Il est temps pour vous de dîner. Vous vous rendez seul à votre réfectoire. Je ne veux pas entendre de bruit sinon la correction sera sévère.

Nous allons en silence au réfectoire où des plateaux sont disposés sur la table. Un homme qui se présente comme cuisinier est présent et nous surveillera durant le repas. Il oblige chacun à finir l'assiette. Le repas n'est pas mauvais et assez copieux. Rémi est désigné pour ranger le réfectoire. Nous sommes autorisés à nous allonger sur nos lits. Je suis entre Rémi et Thierry. En face de moi, Yves entouré de Jean-Luc et Marco. Je découvre alors que Thierry a un tatouage qui marque son appartenance à un certain Bruno. Marco et Yves ont une brûlure de cigarette en haut de la fesse gauche. Jean-Luc lui n'a rien de particulier. S'il est maintenant avec un maître c'est parce qu'il n'avait nulle part où aller après avoir révélé son homosexualité.

Il est un peu inquiet sur la suite des évènements. Lorsque Rémi revient, il nous dit que nous devons rejoindre Thomas dans la salle de cours numéro 1. Nous descendons donc à cette salle.

Thomas est assez bien foutu. Il fait environ 1M75 ce qui le classe dans notre moyenne, même si à côté de Yves il reste tout petit... mais il est bien musclé et son marcel met en évidence des bras très musclé. Il a de très beaux yeux clairs et ses cheveux grisonnants lui donnent un aspect à la fois de maturité et de responsabilité. Sa voix grave est toujours autoritaire, comme un militaire. Il a de grandes mains assez épaisses. Il ne porte ni tatouage ni piercing. Son seul " bijou " est un bracelet noir et argent. Nous arrivons dans la salle désignée. Il s'agit d'une des salles de classes comprenant une dizaine de tables et autant de tabouret. Thomas nous demande de rester debout devant la table. Il passe entre nous et vérifie notre tenue : short, tong et tee shirt. Il regarde à l'intérieur des short pour contrôler que nous n'avons rien dessous.

Seul Thierry se fait reprendre : il a mis un jock strap. La punition est immédiate. Il doit aller devant nous tous et baisser son short. Il reçoit 20 claques délivrées par Thomas, à mains nues.

  • Ceci est un simple avertissement. Les punitions doubleront à chaque fois que vous serez repris. Vous devez exécuter exactement ce que l'on vous demande ! aucun écart ne sera toléré.

Ceci étant dit, Thierry regagne sa place, après avoir ôté son jock strap. Nous pouvons alors nous assoir sur les tabourets. Thomas nous explique alors comment se passeront les journées, en détail, les soirées et les nuits. Il nous informe également qu'il pourra y avoir des réception de clients dans l'aile gauche. C'est à cette occasion que nous pourrons nous y rendre. Pour la nuit, nous serons seuls dans la chambre. Le couvre-feu est fixé à 22h30, mais il pourra y avoir des exceptions les jours de réception notamment. Nous devons rester en forme, une sieste sera donc imposée en début d'après-midi. A chacun de la gérer. La nourriture qui nous sera donnée ne devra pas être gaspillée. Enfin, nous devrons respecter chaque employé du domaine et répondre à ses attentes. Il y a à la fois des hommes et des femmes mais chacun connaît son travail et ce qu'il peut exiger des stagiaires. La nuit doit être le moment de récupération. Il nous conseille de ne pas nous éparpiller parce que les journées seront dures ! il s'agit d'un stage intensif, tous les jours de la semaine.

Quand Thomas a terminé son exposé, il nous remet à chacun un collier qui ressemble à celui que l'on met à un chien. Le collier est muni de 4 anneaux. Il nous remet également 4 bracelets en nous précisant qu'il y en a 2 pour les poignets et 2 pour les chevilles. Ces instruments seront à porter à chaque cours " d'endurance " qui auront lieu régulièrement l'après-midi. Ce sera la seule tenue autorisée. Un autre homme entre dans la salle. Thomas nous demande de nous lever en signe de salut. C'est Karim. Celui-ci s'occupera également de nous quand Thomas ne sera pas là. Karim est un homme d'une quarantaine d'années. Il est très costaud ! Très brun, aux yeux très sombres, il a un visage assez dur. Il se présente à nous en short de cuir avec des rangers et chaussettes blanches.

Ses jambes, épilées sont très musclées. Ses cuisses remplissent le short. Il a, attaché à sa ceinture, un martinet. Il nous parle pour nous expliquer qu'il est le double de Thomas, qu'il faudra l'appeler Monsieur ou Maître Karim.

C 'est monsieur Karim qui nous ramène à notre chambre. Nos costumes sont revenus et installés sur nos lits. Nous devons nous déshabiller, mettre l'ensemble de nos vêtements dans un panier à notre nom. C'est ensuite la douche ou chacun s'observe ! Marco demande à Jean-Luc de lui frotter le dos. Karim laisse faire... A la fin de la douche, lorsque nous nous sommes séchés, nous devons mettre notre serviette dans le panier et, juste en tongs, nous devons amener notre panier à la lingerie. C'est donc à poil, en file indienne que nous arrivons à la lingerie. Il n'y a personne à cette heure. Nous déposons notre panier sur un comptoir et remontons dans la chambre. C'est donc à poil que chacun entre dans son lit.

La journée a été longue ! Chaque stagiaire fait part de ses impressions. Yves semble maintenant le plus inquiet. Il croyait être ici pour quelques jours... Marco, lui est maintenant très excité et son membre bandé l'atteste. Il propose à Rémi de venir le soulager, mais Rémi ne veut pas ce soir. Il se dit fatigué et voudrait dormir. Thierry lui aussi est excité et va vers Marco pour le branler. Marco ne tarde pas à jouir, sur ses draps... Thierry en fait autant puis retourne dans son lit. Il est environ 23 h quand la chambrée se calme et que les premiers ronflements se font entendre.

Les premiers jours au domaine

La première nuit fut courte. Comme prévu à 6 heures nous avons eu droit au réveil. C'est monsieur Thomas qui entre dans la chambre, allume et nous demande de nous lever rapidement. Nous devons nous mettre debout près du lit pour écouter les premières consignes de la journée. Je me lève, comme les autres, à moitié endormi. Je bande comme mes camarades. Mais c'est très vite parti, quand Thomas nous dit que nous allons faire un petit jogging puis une séance de musculation. Nous devons donc mettre un jock, un short, un tee shirt et des baskets. Chacun étant habillé, nous suivons Thomas dans le parc devant la bâtisse. Il fait encore nuit même si le soleil commence à pointer. Il ne fait pas très chaud, mais nous courrons dans le bois, ce qui nous réchauffe un peu. Marco a un peu de mal à nous suivre, il n'est pas très sportif et Thomas l'interpelle plusieurs fois pour qu'il accélère.

Nous atteignons le parcours sportif. Etirements, sauts... puis nous devons aller dans la salle de musculation. Bien sûr, Thomas nous demande d'enlever nos chaussures. C'est donc pieds nus que nous entrons dans la salle. Il commence par des étirements puis quelques pompes, heureusement pas très nombreuses. Il nous affecte ensuite des instruments. Je suis sur le vélo, ce qui me convient assez même si après le jogging, j'ai les jambes un peu en coton. C'est Marco qui se fait remarquer. Il a du mal sur le rameur. Thomas lui montre comment faire, mais visiblement il n'y arrive pas. Il a droit à une fessée, short baissé. Il proteste mais Thomas ne cède pas. Le rameur n'étant visiblement pas son truc, il doit exécuter d'autres pompes, avec des poids sur les reins. Quand les pompes ne conviennent pas à Thomas, une claque sur les fesses lui rappelle ce qu'il doit faire.

Vers 8 heures, nous passons vers la lingerie. Une dame, Françoise, nous appelle par notre prénom et nous remet notre panier avec le linge propre et des nouvelles serviettes. Lorsque nous sommes tous servis, nous remontons dans la chambre. Monsieur Thomas nous dit que nous avons 30 minutes pour la douche, rasage de près, y compris la tête qui devra être nette chaque jour ! Nous devons également revêtir notre costume pour les cours et faire le lit. Pendant la douche, il inspecte la chambre et remarque que le lit de Marco a des traces de sperme. Quand nous rentrons dans la chambre, nous devons rester nus devant notre lit. Il demande à Marco des explications. Marco reste silencieux. Monsieur Thomas lui demande alors de mettre les mains sur le montant du lit et de se tenir droit, les jambes écartées. Il sort de sa ceinture un martinet et frappe v i o l emment Marco de plusieurs coups.

Marco crie et veut mettre ses mains sur ses fesses, mais Thomas lui ordonne de maintenir les mains sur le lit. J'ai mal pour lui ! Ses fesses sont striées de rouge. Thomas n'hésite pas à frapper à différents endroits. Marco continue de crier à chaque coup. Puis Thomas s'arrête. Il nous demande de ranger la chambre, de mettre le linge sale dans le panier et de s'habiller pour les cours.

Marco en a gros sur le coeur. Il se frotte les fesses qui doivent être brûlantes. Lorsque nous sommes tous habillés avec notre costume de cours, nous allons déjeuner. Nous avons 15 minutes. Le petit déjeuner est assez copieux : pain, fruits, yaourt, boissons chaudes et froides, fruits secs, céréales... un vrai buffet ! Nous apprécions, dommage que nous n'avons que 15 minutes. Nous devons ensuite ranger la pièce. C'est Jean-Luc qui est chargé de balayer. Ce sera mon tour le lendemain. Monsieur Thomas nous affecte ensuite à différents cours. Il nous indique la salle dans laquelle nous devons nous rendre. Nous y resterons jusqu'à la fin de la matinée.

J'ai droit à des cours d'économie internationale ! Le premier cours m'est donné en anglais. Je parle bien sûr anglais, mais je n'ai qu'un niveau scolaire, et c'est très difficile pour moi de suivre pendant longtemps la conversation. A la fin du cours, une interrogation est faite. J'ai droit à 10 questions. Je fais deux fautes. Le professeur m'invite à le rejoindre. Il me demande de baisser mon bermuda et mon slip. Je dois mettre mes mains sur le dos d'une chaise. Il relève les pans de ma chemise et me donne 2 coups de canne. C'est plutôt par surprise que par mal que je pousse un cri. Il m'annonce que demain ce sera le double ! J'ai ensuite droit à un cours d'allemand qui se passe bien. Enfin pour terminer la matinée, je dois me rendre dans une autre salle. J'y suis rejoint par Rémi. Tous deux nous allons avoir des cours de code de la route afin de préparer le permis. La séance consiste à un diaporama expliqué, suivi d'un examen de 40 questions.

Pour avoir le code, nous devons faire 35 minimum mais ici, nous devons faire 40. Chaque point manquant sera payé par un coup de canne ! Même si nous nous appliquons, cette première fois est désastreuse. Rémi fait 17 et moi 21 ! Il va devoir supporter 23 coups de canne et moi 19. J'en ai déjà eu deux ce matin...

Le professeur nous demande donc de baisser bermuda et slip. Je remarque de Rémi semble excité par la situation. Sa bite est droite, même si elle est un peu cachée par la chemise, ça se remarque. Le professeur me demande d'attendre, les mains sur la tête. Ma chemise remonte et du coup, ma bite est bien visible, avec l'anneau que je n'ai toujours pas retiré. Il commence donc par Rémi. C'est plus une cravache qu'une canne. Il la fait siffler autour des fesses de Rémi. Je le vois contracter son cul. Puis il relève la chemise de Rémi et lui demande d'écarter les jambes, de ne pas bouger et de compter à rebours. S'il bouge, il recommencera au début. Lorsque le premier coup tombe, Rémi pousse un cri. Je vois la trace de la cravache sur les deux fesses, en plein milieu. Rémi a compté 23. Le professeur fait à nouveau siffler la cravache puis donne le deuxième coup un peu plus bas. Il caresse légèrement les fesses de Rémi et lui donne ensuite plusieurs coups à la suite. Rémi compte consciencieusement mais la voix n'est plus la même...

Quand le professeur a terminé avec Rémi, il lui demande de mettre les mains sur la tête et d'attendre. Je vois son sexe qui s'est ratatiné, et ses fesses rouges, striées. Je prends la pose qu'avait Rémi. J'écarte bien les jambes, Rémi ne doit rien rater du spectacle de mes couilles sous mes fesses ! Le professeur me remonte la chemise et remarque que j'ai déjà dû subir une punition. Je lui confirme en expliquant mes deux fautes. Il fait siffler sa cravache et me frappe une première fois. Effectivement, le coup est sérieux. Je pousse également un cri avant de commencer le décompte. Au cinquième coup, j'ai les jambes qui tremblent. Il me caresse les fesses, ce qui accroît l'effet de chaleur. Je me concentre sur le décompte pour ne pas penser aux coups, mais c'est impossible ! Au dernier coup j'ai du mal à me relever. Je dois moi aussi mettre les mains sur la tête. Nous sommes donc face au professeur, la bite à l'air, le cul très chaud ! Le professeur nous explique que la prochaine fois, ce sera 2 coups par faute, puis ensuite 3 et 4 et ainsi de suite... nous prenons acte et remontons notre pantalon. Nous devons nous rendre au réfectoire.

Nous regagnons donc notre espace et nous arrivons bon dernier. Le cuisinier est là. Il nous sert un repas, plus léger que le matin : quelques crudités, du pain, une compote et de l'eau. J'ai du mal à m'asseoir sur le tabouret pour prendre le repas. En plaisantant, le cuisinier me demande si je veux un coussin. Je ne réponds pas et m'eff o r c e de m'asseoir.

Le repas terminé, nous rangeons la pièce et retournons dans la chambre ou Karim nous attend. Il nous demande de nous mettre à poil pour la sieste. Cette fois c'est sans broncher que nous nous allongeons sur le lit. Yves a reçu lui aussi des coups de cravache, il est marqué sur les fesses, plus que moi. Des six, seul Thierry n'a pas eu droit à une correction. Quant à Marco, la correction de ce matin ne l'empêche pas de se tripoter la queue. Cette fois, il le fait seul. Nous somnolons quelques moments. Le soleil donne et la pièce est très chaude. Il doit être 15 heures, lorsque Karim entre dans la pièce. Il nous annonce que la sieste est terminée et que nous allons entamer le cours d'endurance. Nous devons mettre collier et bracelets. Karim vérifie le harnachement de chacun.

Pour la plupart d'entre nous, il serre davantage le collier. Nous devons ensuite nous mettre en file indienne. Il passe une chaîne à travers les colliers ce qui fait que nous sommes tous les six attachés les uns aux autres. Comme hier, nous sommes par taille, je me retrouve donc devant Yves. Il nous demande ensuite de passer les bras autour de la taille de notre camarade de devant et met un crochet qui rejoint nos deux bracelets de poignet. Je sens la bite d'Yves dans mon cul qui grossit.

La mienne grossit également dans le cul de Rémi qui semble cambrer son dos. Je suis le plus jeune des six avec mes 19 ans. Lorsque chacun est attaché, nous devons suivre Karim. Il nous recommande de marcher du même pas ! Nous le suivons. Le plus difficile est de s'harmoniser dans l'escalier. Heureusement les marches sont larges et nous arrivons au sous-sol sans trop d'encombre. Thomas nous attend. C'est lui qui nous détache à notre arrivée devant la salle du donjon. Il nous dit d'attendre en silence. Nous nous regardons, un peu inquiets. Il nous explique brièvement ce qui nous attend :

  • Vous êtes ici pour en baver, messieurs ! l'après-midi sera consacré à l'endurance. Vous allez être mis dans des postures que vous devrez garder un certain temps. Nous commencerons légèrement, mais d'ici 3 semaines, vous devrez tenir beaucoup plus longtemps !

Il nous fait ensuite entrer dans la pièce et nous demande de nous asseoir sur les fauteuils. Chaque fauteuil est en bois avec en son centre un gode, pas très large, et d'une dizaine de centimètres. Chaque gode a été graissé et nous devons donc nous enfilé sur cette fausse bite. Heureusement que Jacques m'a habitué à ouvrir mon cul, Je m'eff o r c e de m'assoir, même si mes fesses sont encore douloureuses. Jean-Luc semble avoir plus de difficultés. Visiblement, son cul n'a jamais servi ! Thomas s'en aperçoit et se met devant lui et le pousse sur les épaules. Jean-Luc crie, mais Thomas continue de le baisser sur le siège. Quand chacun est assis, Thomas nous pose des questions diverses en indiquant qui doit répondre. Il y a des questions de culture générale, d'actualités ou d'hygiène. Il note sur un petit carnet quelque chose à chaque réponse. Je sens le gode m'envahir le ventre. Sans être douloureux, cette position n'est pas très agréable. Je vois Jean-Luc qui semble le plus mal à l'aise. Il transpire malgré le froid de la pièce. Thomas le remarque et le retire du fauteuil.

Thomas nous présente ensuite Rachid, un grand mec costaud qui porte un mini slip en cuir noir, des rangers, des mitaines en cuir et un bonnet, toujours en cuir, qui lui arrive jusqu'au nez. Ses fesses sont très musclées et très rebondies. Thomas nous annonce que ce sera notre " b o u r r e a u ". C'est lui qui sera chargé de nous corriger, et de nous installer. Il appelle ensuite Rémi qui doit le suivre. Rémi se relève difficilement. Il a les larmes aux yeux mais ne dit rien. Thomas lui demande de se pencher vers l'avant. Il attache ses poignets à ses chevilles et demande à Rachid de le mettre dans la cage. Il s'agit d'une petite cage où Rémi doit se tenir accroupi, la tête dans les genoux. La grille est suffisamment serrée pour ne pas laisser dépasser de membres. Lorsque la cage est refermée, Rachid la monte tout en la balançant. Rémi gémit, se plaint, dit qu'il a envie de vomir, mais la seule réponse qu'il a c'est un bol d'eau à la figure. Il fait assez froid dans cette pièce. La clim doit être en activité. C'est Yves qui est appelé. Thomas lui mais une boule dans la bouche qu'il attache solidement derrière le cou. Il lui demande ensuite d'écarter les jambes et accroche ses pieds à des supports qui se trouvent à terre.

Yves a ensuite les mains attachées dans le dos et soulevées. Nous l'entendons gémir. Lorsque les bras sont tendus au maximum, il crie mais son cri est étouffé. C'est ensuite mon tour. Je suis à côté d'Yves, dans la même position, mais à la place de la boule, on me met un appareil qui me tient la bouche ouverte en permanence. Le froid s'atténue au profit d'une suée. On demande à Jean-Luc de venir mettre sa bite dans ma bouche et de se branler. Jean-Luc s'exécute, sans doute excité par la situation. Il se branle pendant près d'un quart d'heure mais n'éjacule pas, thomas le pousse avant et remplace la bite de Jean-Luc par un gode qui me prend toute la bouche. Jean-Luc est attaché par les couilles solidement et mis sur un carcan. Ses couilles et sa bite sont mises dans un trou tout comme sa tête et ses bras. Ses pieds sont fixés au sol. Il ne peut plus bouger non plus. Marco lui, est attaché sur le dos, sur un sommier de lit. Les jambes sont attachées solidement par une ceinture et les bras sont attachés au-dessus de sa tête, aux barreaux du lit. Il reste Thierry qui est attaché sur une croix de St André, laissant visible son cul et on aperçoit ses couilles.

C'est sans doute lui qui a la position la moins difficile. Lorsque chacun est installé, on me retire le gode de la bouche et on m'échange l'écarteur avec une boule. Puis Rachid, muni d'une canne vient nous fesser Yves et moi. Les coups pleuvent les uns derrière les autres. Une dizaine chacun. Ensuite, il nous caresse les fesses puis reprend une série de 10. J'ai les larmes aux yeux, je pisse même sur moi sans pouvoir me retenir. Nous recevons chacun 30 coups. Il se dirige ensuite vers Thierry. Ce dernier a droit au même traitement. Lui aussi pleure et crie, mais rien n'y fait. La série de trente terminée, Rachid se dirige vers Marco, qui crie " Non, pas ça, s'il vous plait " mais Rachid ne semble pas l'entendre. Marco reçoit des coups sur le ventre, le torse, et même les couilles ce qui le fait hurler. Viens le tour de Jean-Luc. Il tremble avant même de recevoir le premier coup. La série de trente a l'air très pénible pour lui. Il semble s'évanouir. Thomas lui envoie de l'eau sur la figure, mais Jean-Luc ne réagit pas. Il est alors détaché et s'étale à terre. Quelques secondes passent avant qu'il ne se relève. Il est alors remis dans son carcan. Il pleure à chaudes larmes. Le seul épargné sera Rémi qui balance dans la cage. Rachid et Thomas sortent de la pièce et nous laissent dans le noir. Rémi se plaint de courbatures tandis que Marco dit ne sentir que des brûlures. Jean-Luc a très mal aux couilles compressées et pense qu'il ne pourra plus jamais éjaculer. Seul Thierry reste muet. Yves et moi nous nous regardons mais nous ne pouvons pas parler.

On reste ainsi un bon moment. Rémi nous explique sa situation. Il a été mis à la porte de chez lui quand il avait 20 ans, parce que son père n'admettait pas un homosexuel chez lui. Il est monté à Paris et a erré plusieurs mois de squat en squat. Il a eu des petits boulots mais a fini par se prostituer pour avoir du fric. C'est là qu'il a rencontré celui qui allait devenir son maître. Nourri logé, il est très vite devenu l'esclave de son maître qui l'a emmené sur Bordeaux où il devait être entièrement à son service. L'école doit lui apporter ce qu'il n'a pas encore connu : obéissance totale et jeux sexuels. Mais Rémi dit qu'il regrette de s'être laissé embarquer dans cette galère et compte bien se sauver à la première occasion.

Jean-Luc nous dit qu'il a à peu près la même histoire. Son maître l'a recueilli dans la rue lui aussi. Son maître a été attiré surtout par la taille de sa bite. Il aime l'exhiber, mais il n'a eu des relations qu'avec son maître.

Il est ici pour apprendre obéissance. Son maître lui a promis de s'occuper de lui en lui promettant qu'il n'avait pas à penser au lendemain. Marco le contredit en lui disant que quand son maître serait fatigué de lui, il le jetterait. Il savait de quoi il parlait, il en était à son troisième maître. Il a été vendu deux fois après avoir lassé ses maîtres. Pourtant il se dit doué en service, cuisine et même baise, mais il refuse toujours les corrections. Son dernier maître est très brutal et il compte bien lui aussi se sauver. Thierry est un peu dans la même situation que moi. Il a rencontré son maître un peu par hasard, en faisant du jogging. Une amitié puis une amourette et maintenant un rapport plus sadomaso. Son maître ne le brutalise pas. Ils forment un couple un peu bizarre, mais il a conservé une certaine liberté. Il a un travail mais donne tout son salaire à son maître qui le nourrit, l'habille et le sort régulièrement.

La lumière revient, Thomas et Rachid aussi. Rachid recommence une série de 30 coups de cravache. J'ai très mal, je bave, je pleure... Je sens mes fesses me brûler mais je résiste. Quand il arrive à Marco, ce dernier le supplie, mais Rachid, sans pitié, le frappe à nouveau. Seul Jean-Luc et Rémi y échappent. Je vois les fesses zébrées de Thierry, les miennes doivent être dans le même état. A nouveau le noir et le silence, rompu par Rémi qui nous demande comment on va.

  • Pas bien, lui répond Marco, j'en ai vraiment marre !

On attend un bon moment, puis la lumière revient. Rachid détache d'abord Marco et lui demande d'aller se rasseoir sur le fauteuil godé. C'est le tour d'Yves puis le mien. Nous sommes suivis de Thierry et Jean-Luc. Rémi est descendu de sa cage et détaché. Comme il n'a pas reçu du coup de canne, il est installé sur le cheval d'arçon, les fesses face à nous, bien en évidence. Les pieds et les mains attachées de chaque côté. Et Rachid lui donne des coups de cravache, 10 par 10 avec des caresses entre chaque série. Rémi crie, pleure, mais résiste finalement. Quand la série de 30 est terminée, il vient nous rejoindre sur un fauteuil.

  • Bien messieurs, vous avez été courageux, même si certains se sont laissés aller, n'est-ce-pas Cédric ? Marco tu as été un peu capricieux mais tu as résisté. Jean-Luc, le médecin t'attend à l'infirmerie. Les autres vous pouvez rejoindre vos quartiers ou le parc, jusqu'à 19 h. A la sonnerie, vous serez tous au réfectoire.

Nous remontons dans la chambre. Nous enlevons nos colliers et bracelets et mettons jock et short pour aller dans le parc. Il fait très beau. Il doit être 17 h environ, nous avons donc deux heures devant nous. Nous discutons mais nous avons surtout mal aux fesses. Thomas nous rejoint. Il n'a pas la même intonation que lorsqu'il donne des ordres. Il nous parle calmement, nous fait découvrir le parc, dit que nous pouvons nager dans la piscine. C'est d'ailleurs ce que je fais. Je me mets donc à poil, puisque ce sont les consignes et je me jette à l'eau. Ça me fait beaucoup de bien. La chaleur de mes fesses et le froid relatif de l'eau me font un bien fou ! J'incite les autres à me rejoindre mais je reste seul dans l'eau. A 19 heures, Thomas nous rappelle, il a repris sa voix de militaire !

Je remets le jock et le short, je ne peux pas me sécher... Nous montons au réfectoire où on nous sert un repas un peu plus copieux qu'à midi. Puis nous avons droit à une séance de cinéma. C'est un film qui nous explique comment nous nettoyer le pénis. Après le film, nous allons dans la salle où se trouve les paillasses et nous devons montrer que nous avons bien compris. Nous nous déshabillons et nous nous nettoyons la bite comme vu dans le film. Thomas nous inspecte les uns après les autres. Il prend Marco et fait une démonstration de nettoyage " en direct ". Marco bande. Thomas finit par le branler. Evidemment Marco éjacule.

Thomas lui demande de tout nettoyer, avec sa bouche. L'air dégoûté Marco s'exécute. Il a des hauts le coeur, mais il ne veut pas d'une autre correction. Il est à peu près 21 heures quand nous remontons à notre chambre : douche, puis panier à déposer à la lingerie. Nous sommes étonnés en arrivant, Françoise est présente. Nous sommes un peu gêné, d'être nus devant cette femme, mais elle ne semble pas faire attention à nous. Toutefois quand Jean-Luc lui remet son panier, elle regarde fixement sa bite. Nous tentons de cacher notre sexe, mais Thomas nous demande de mettre les mains sur la tête pour retourner dans la chambre. Nous pouvons alors nous coucher. Pour cette deuxième nuit, personne n'a cherché l'autre... Nous nous sommes rapidement endormis.

Chacune des journées au domaine furent rythmées par des cours le matin qui donnaient lieu à des brimades. Heureusement mon niveau en code s'est amélioré et assez rapidement je faisais le plus souvent 40, ce qui m'évitait les coups de canne. Quant aux autres cours, ils étaient systématiquement suivis d'une interrogation. Les points manquants étaient sanctionnés par des coups de canne ou de martinet qui augmentaient chaque jour de un. Cinq après-midi sur sept nous avions endurance. Chaque fois des poses différentes, les plus pénibles possibles. Il fallait rester comme ça entre 30 minutes et 3 heures pour les plus récalcitrants. A chaque séance je m'eff o r ç a i de penser à autre chose pour ne pas me concentrer sur le mal que je pouvais ressentir. La séance la pire que j'ai pu subir fut lorsque je fus mis en extension par les bras très écartés.

Mes pieds ne touchaient le sol que par la pointe posée sur des mini-supports. Rachid m'avait fixé aux seins des pinces reliées entre elles et également reliées par une ficelle qu'il avait attaché à chaque gros orteil. Dès que je bougeais un pied, je sentais une tension sur mes tétons. Pour couronner le tout, il avait fixé à mes couilles des poids qu'il venait alourdir à chaque demi-heure. Et bien évidemment, il m'avait remis la cage pour mon sexe et j'ai eu un plug dans le cul. Il n'était pas trop gros mais assez long, ce qui me provoquait des tensions dans le ventre. Au bout de 1h30 je me suis mis à tremble. Je ne sentais plus mes bras ni mes jambes.

Quand Rachid entra, il vint me délivrer avant de s'occuper des autres. Je suis tombé par terre mettant un certain temps à me rétablir. Une autre expérience douloureuse fut lorsque je fus mis, attaché, dans une boîte où il faisait très sombre et suspendu. Au bout d'un moment, on ne sait plus où on est. J'avais un bâillon et je ne pouvais donc pas parler pour communiquer avec les autres. Chaque demi-heure, Rachid tournait la boîte qui mettait du temps à s'immobiliser. J'avais envie de vomir, c'est ce qui arriva quand Rachid retira le bâillon. J'ai dû cette fois là nettoyer entièrement la salle ! et du coup j'ai raté le repas du soir.

Il y eut également des jours beaucoup plus agréables : deux après-midi par semaine on nous a initiés à l'art du massage.

La technique était donnée par un professeur et c'est un moment où nous pouvions nous laisser aller. Lors de la première séance, j'ai été affecté comme masseur. Le massé était Jean-Luc. Jean-Luc était bien sûr à poil sur la table de massage et moi j'étais en mini slip. Comme le professeur nous l'avait indiqué, j'ai pulvérisé de l'huile sur les épaules de Jean-Luc puis je l'ai massé avec la paume de mes mains. Peu à peu je suis descendu le long du dos m'attardant sur les hanches, remontant vers le cou. Puis je me suis attaqué aux jambes : les mollets, les cuisses puis les fesses. Quand Jean-Luc s'est retourné, il bandait très fort. Sa bite dépassait son nombril ! quand j'ai commencé le massage du torse, mes bras frôlaient sa bite à chaque passage. Je bandais moi aussi dans mon mini-slip, ma bite montra sa pointe en dehors du slip. Aucune réflexion du professeur qui semblait amusé de la situation.

Visiblement le massage avait le même effet sur les autres. Le professeur nous demanda de retirer le mini slip. Tout le monde bandait très fort. On continua le massage, torse, jambes. Puis nous eûmes l'autorisation de nous occuper de la bite de notre acolyte. J'ai d'abord caressé les couilles de Jean-Luc, depuis le temps que j'attendais ça ! puis j'ai caressé sa queue jusqu'au gland, lentement, m'attardant sur toutes les veines qui ressortaient. Ma paume de main massait sa verge, je la sentais réagir sous mes caresses. Quand je sentais des vibrations, j'attendais un moment... Marco avait déjà éjaculé, alors que Jean-Luc savourait mon massage. Une main massait sa queue, l'autre son entrejambes ce qui le rendait fou ! Je l'entendais respirer, souffler, se retenir. Je sentais qu'il se contractait... Ce fut le dernier à jouir, mais visiblement la situation lui avait plu !

Il a joui abondamment sur son ventre, jusqu'au menton, au moment où ma main lui caressait le bout du gland... j'ai goûté son sperme alors que les autres nous regardaient. 3 d'entre nous avaient joui mais le cours était terminé. Nous devions remettre nos mini slip pour quitter la salle, nous avons beaucoup de mal à faire rentrer nos queues bandées dans ces petits morceaux de tissu. La semaine suivante, j'étais massé dans les mains de Thierry. Ce fut très agréable ! il était certainement expert en massage. J'ai moi aussi joui abondamment alors que Thierry me massait les bourses tout en titillant mon gland. Il a englouti mon membre pendant que je jouissais et il a tout avalé en me regardant. C'était super excitant !

Et puis nous avons alterné les cours d'hygiène où les explications portaient sur le nettoyage des parties génitales, mais aussi du reste du corps. C'est lors de ces cours que nous avons dû pratiquer des lavements. Toutes les trois semaines environ, l'après-midi était consacrée à l'épilation. Nous devions nous rendre en string au " salon d'épilation " ou Jean-René nous accueillait avec un sourire sadique. Il mettait tout son coeur à nous voir souffrir surtout lorsqu'il enlevait les quelques traces de poils entre les couilles et le cul. Ça chauffait pour nous ces jours là ! Nous devions passer chacun notre tour sur la table d'épilation, entièrement nu pendant que les autres regardaient le travail de Jean-René qui commentait ce qu'il faisait. Puis l'un d'entre nous était chargé de mettre une crème apaisante sur le corps tout nu de son camarade. A chaque fois je suis tombé sur Yves qui bandait comme un âne. Je m'appliquais à lui enduire le sexe de crème pour le caresser un maximum. En général je passais le dernier parce que c'est moi pour qui les poils repoussaient le moins vite. C'est Jean-Luc qui m'enduisait de crème. J'aimais regarder sa bite qui me frôlait à chaque fois.

Ces trois mois au domaine furent également rythmés par des " soirées " qui quelquefois pouvaient durer toute l'après-midi et toute la nuit ! Ces soirées étaient des moments où nous étions plus ou moins livrés à des clients du domaine qui venaient pour s'amuser ! Il n'y en a eu que 5 durant mon séjour, mais elles furent très pénibles !

Les soirées au domaine

La première soirée qui eût lieu au domaine, ce fut un samedi. Le matin, Françoise, qui nous donnait notre panier de linge propre nous fit chacun un clin d'oeil. Lorsque nous sommes retournés dans la chambre, nous avons découvert au fond du panier un noeud papillon, des manchettes, des chaussettes blanches et des rangers. C'était la première fois que nous avions ceci. Nous venions de passer presqu'un mois et jusque-là nous avions eu que notre linge habituel. Thomas nous demanda de ranger ces accessoires dans notre placard. La matinée se déroula comme d'habitude : cours, interrogations suivies de brimades. Le repas ne fût pas plus copieux que les autres jours : rien ne laissait présager que la soirée serait longue. Après la sieste, nous eûmes droit à une initiation massage. Là encore, le samedi c'était une chose habituelle. Mais vers 16 heures, Thomas entra dans la salle et nous demanda de le suivre.

Nous nous sommes dirigés vers la chambre où il nous a demandé de nous préparer : douche, puis linge sale dans le panier puis enfiler les accessoires. Chacun de nous s'est activé. Nous nous sommes aidés pour mettre les manchettes blanches, avec un bouton noir et ce à chaque poignet. Nous avons ensuite mis notre noeud papillon autour du cou puis les chaussettes et les rangers. C'est dans cette tenue que nous sommes descendu remettre le panier de linge à Françoise qui nous accueillit avec un grand sourire ! A chacun, elle donna une petite tape sur le sexe, histoire de nous faire réagir ! Ce fut le cas de Marco qui bandait très facilement. Puis Thomas nous demanda de le suivre près de la piscine.

Nous avons alors dû installer des tables et des chaises, une tonnelle et préparer une table pour un buffet. La table du buffet n'était pas très longue mais elle pourrait contenir quelques assiettes. Les places assises étaient au nombre de 10 réparties de part et d'autre de la table. Les chaises avaient un coussin rouge assez épais. Près de la table, nous avons dû installer une sorte de potence d'où pendaient différents bracelets : 5 au total. Puis Thomas nous demanda de se mettre face à lui. Il sortit d'un sac des cockrings que nous avons dû enfiler, maintenant la bite et les couilles. Puis à chacun de nous, il fixa une cage, semblable à celle que j'avais protée avant d'entrer à l'école. Jean-Luc, qui avait la plus grande bite de nous tous semblait très mal à l'aise. Marco et Yves se déplaçaient bizarrement. De mon côté, j'avais oublié cette prison et le fait de remettre cet instrument ne me plaisait pas trop. Thomas nous montra les six clefs des cadenas, qu'il mélangea et qu'il déposa au centre de la table où les invités pourraient prendre place.

Il était environ 20 heures, Thomas nous demanda d'attendre les invités, debout, dehors, face à la piscine. Il nous recommanda à chacun d'être aimable, serviable et de ne contrarier personne. C'est Thierry qui posa une question :

  • Qui attend-on ?

A notre grande surprise, Thomas nous donna une réponse :

  • Ce soir nous accueillons trois couples et 4 hommes. Ce ne sont pas des gens v i o l ents. Ils viennent se distraire. Leur but est de s'amuser. Certes, vous risquez de subir quelques châtiments, mais tout ceci restera soft et compte tenu de votre avancement dans l'école, vous trouverez cela beaucoup moins pénible que vos séances d'endurance. Il y aura donc 7 accueils à faire. Thierry, puisque tu es bavard, tu feras le premier et le dernier. Ensuite, vous les servirez en passant leur offrir boissons et petits fours. En aucun cas vous ne devez vous servir pour vous. S'il y a des restes, vous les aurez en fin de soirée. Quand ils auront terminé leur repas, ce sont eux qui disposeront de vous. Chacun aura une clef et pourra vous repérer. Ah ! j'oubliais, les couples sont mixtes bien sûr !

Nous nous regardâmes chacun notre tour, des femmes allaient pouvoir s'amuser avec notre corps : Cela semblait ravir Marco, pour ma part, j'étais plutôt gêné, n'ayant jamais eu de rapports avec une femme.

Il nous a fallu encore attendre près d'une heure. Thomas alluma les lampes près de la piscine et les quelques lampions autour de la table. Il ne faisait pas froid, mais attendre comme ça nous refroidissait un peu. Thomas disparut environ un quart d'heure. Quand il revint, il était habillé d'un smoking. Il était encore plus craquant comme ça !

Quelques instants après, le premier invité arriva. Thierry se dirigea vers lui, le salua dans le toucher et lui pria d'avancer vers la piscine. L'homme salua Thomas puis vint vers nous et nous examina un par un. Je dus ouvrir la bouche. Il m'enfonça un doigt tout autour de mes dents. Il fit pareil à Jean-Luc et à Yves. Puis il alla discuter avec Thomas. Thierry s'avança vers eux pour leur offrir du champagne. Pendant la discussion, un couple fit son apparition. Je fus chargé de m'en occuper, par un signe de Thomas. Je les saluais tous les deux en essayant de cacher ma bite. La dame me prit la main pour me l'enlever de devant mon sexe. Je les fis rejoindre la piscine. La dame alla toucher tous les sexes enfermés. A chaque fois que Thierry s'approchait avec des verres, elle lui touchait le sexe ce qui lui faisait faire un petit mouvement de recul.

Les autres invités arrivaient, les uns derrière les autres, jusqu'au dernier attendu. Thomas les invita à prendre place à table et nous fûmes chargés de les servir à l'assiette. Heureusement que nous avions eu des cours durant les semaines précédentes, ne serait-ce que pour tenir les plateaux ! A chacun de nos passages, nous avions droit à des caresses sur les fesses, les couilles... Une des invités me caressa même les jambes et les bras, flattant la douceur de ma peau en l'absence de tout poil. Durant le repas, cette dame, qui s'appelait Evelyne, me pria de m'assoir sur ses genoux, comme un petit garçon. J'obtempérai tout en faisant attention de ne pas mettre tout mon poids sur elle. Evelyne me complimenta sur mon visage et mes muscles. Elle me donna quelques bouchées à manger, comme elle l'aurait fait à un bébé puis me donna un grand verre d'eau à boire. Depuis que nous étions là, nous n'avions eu ni à boire ni à manger, j'en profitais donc ! Je restais sur elle un bon quart d'heure avant de reprendre mon service.

Effectivement la nuit était longue... Et nous n'avions pas eu le droit de boire, de manger ou même de pisser ! Rémy semblait très gêné de ce côté-là. Il interpella Thomas, discrètement, qui ne l'autorisa pas à quitter " la scène ". Enfin le repas se terminait. Nous avons débarrassé la table, amenant le tout aux cuisines. Nous en avons profité pour aller aux toilettes... et pour nous restaurer succinctement. J'étais le seul à avoir eu droit à quelques morceaux !

Puis Thomas nous demanda de nous rendre à nouveau à la piscine. Nous fûmes étonnés de voir quelques invités à moitié nus ! des hommes surtout, dont un un peu bedonnant qui avait " perdu " tout le haut de son vêtement. Thomas annonça la course à la clef. Chaque couple avait récupéré une clé correspondant à l'une de nos cages. Deux hommes formaient un couple et avaient également une clef. Nous nous sommes mis devant la piscine et chaque possesseur d'une clef vint nous observer. Puis ils firent leur choix. Je suis tombé sur le couple où la femme s'était beaucoup intéressée à moi. Chacun essaya alors sa clef sur notre cage. Seul Yves était tombé sur quelqu'un qui avait sa clef. Sa cage défaite, son sexe se développa pour le grand plaisir de l'homme qui l'avait en mains.

Il le masturba puis le pris en bouche sous les applaudissements des invités. Tout le monde se concentrait maintenant sur Yves. Il fut attaché à la potence : les mains liées au-dessus la tête, le cou enserré dans un collier attaché à la potence et les pieds écartés et attachés. Une dame vint se frotter contre lui et surtout son sexe bandé. Elle le suça puis l'embrassa tout en lui malaxant les couilles. Un homme est venu, baissa son pantalon et lui présenta son cul. Le sexe d'Yves glissait sous les fesses du gros bedonnant. Puis chacun reprit ses esprits. Le " propriétaire " d'Yves revendiqua son bien et le détacha. Il l'invita à le suivre un peu plus loin. Pendant ce temps, les autres possesseurs de clefs purent choisir un autre garçon. Je tombais maintenant sur le couple d'hommes. Marco et Rémy eurent la queue délivrée. Marco était ravi : une femme l'avait pris en mains et il semblait tout heureux. Quant à Rémy, c'était un homme plutôt doux qui le prit pour s'occuper de lui. Restaient Jean-Luc, Thierry et moi. Un autre échange et Thierry fut délivrer. Il ne restait donc que deux clefs à essayer. Je suis tombé sur un homme seul, ravi de s'occuper de moi, tandis que Jean-Luc était donné au couple dont la dame poussa un cri en voyant le sexe de Jean-Luc se déployer.

La fin de la soirée se transforma en orgie où chaque invité, désormais nu, s'occupait de son " boy ". Entre caresses, enculades, quelquefois fessées, tout restait finalement très soft ! Seul Jean-Luc eut du mal à se défaire de chaque invité qui voulait " l'essayer ". Surtout Evelyne qui voulait absolument goûter son sucre d'orge ! Il fut assis sur une chaise pendant que hommes et femmes se succédaient pour s'enfiler sur lui.

Quand la soirée fut terminée, nous avons dû nettoyer les lieux puis nous avons regagné notre chambre, un peu usé par la journée. Le lendemain, la journée commença comme les autres, comme si rien ne s'était passé !

Un autre " jeu " a été beaucoup plus difficile à supporter, par nous tous. Nous étions alors début août. Le temps était très orageux. La " soirée " a commencé très tôt dans l'après-midi.

Ce samedi matin c'est Karim qui vient dans la chambre. Le tonnerre gronde à l'extérieur. Ce matin, nous allons faire un jogging, mais nous ne devons mettre que le short et les baskets, rien d'autre. Pendant le jogging, je remarque au loin de nouvelles installations placées près de la piscine, dans le parc : un carcan comme au Moyen-Âge, une potence semblable à celle que nous avions eu lors de notre première soirée, des piquets. Je ne fais pas plus attention, de toute façon, nous devons courir. Nous revenons sur le devant du château, comme notre parcours habituel. Pendant le parcours sportif, il commence à pleuvoir : une forte pluie avec de la grêle. Karim nous autorise à rentrer mais avant nous devons nous déshabiller pour ne pas salir ! nous passons à la douche puis au petit déjeuner.

Le reste de la matinée nous n'avons pas de cours comme à l'habitude mais nous devons préparer une salle au premier étage du bâtiment central : une table, des chaises. Nous devons également y mettre 3 caisses. Je remarque que ces trois caisses sont percées chacune de deux trous. Nous avons droit à une pause, ce qui n'est jamais arrivé un matin ! nous en profitons pour faire une petite bronzette, le temps étant rétabli. Après le déjeuner, nous devons nettoyer correctement chambre, salle à manger, douches... puis Karim nous rassemble et nous demande d'enfiler notre mini-slip. Ce n'est pas la première fois qu'on le porte : c'est un slip de strip teaser qui nous rentre dans les fesses et qui à un bouton pression de chaque côté.

Nous devons ensuite enfiler nos baskets et c'est dans cette tenue qu'il nous emmène près de la piscine. Il est environ 15 h, le soleil est très chaud, mais le temps reste orageux. Karim est rejoint par Thomas qui nous salue et nous indique que l'après-midi et la soirée seront consacrés aux " clients " pour une chasse. Nous serons les gibiers. Nous nous regardons un peu inquiets. Thomas nous recommande d'enlever tous les accessoires qui pourraient nous blesser : cockring, percing etc. Il ramasse le tout puis nous laisse quelques minutes. Il revient, accompagné de 6 hommes habillés en tenue militaire. Il nous présente chacun notre tour au groupe. Il avance un chapeau dans lequel il y a des petits papiers.

Chacun doit tirer un papier. Sur chacun, il y a une contrainte à respecter. Thierry, le premier qui tire le papier obtient " pieds nus ". Il doit se déchausser, Jean-Luc tire " masque ". Karim lui enfile un masque à gaz avec lequel sa respiration sera plus difficile et surtout un manque de visibilité. Je tire le suivant : " menottes ". Mes mains sont attachées dans le dos. C'est au tour à Marco qui tire " boulet ". Karim lui attache au pied une boule qui ressemble à une boule de bowling. Yves a droit des clochettes autour du cou et en bracelets et enfin Rémy qui tire le dernier papier doit porter des genouillères qui l'obligent à marcher à quatre pattes. Thomas nous indique ensuite la règle : nous avons un quart d'heure pour quitter les lieux. Le but est de ne pas se faire prendre par les chasseurs. Au coup de sifflet, chacun peut aller où il veut à l'intérieur du domaine, à l'exception du bâtiment principal. Lorsque nous entendrons à nouveau le sifflet, les chasseurs se mettront à notre recherche et celui qui sera trouvé sera soumis en totalité à son chasseur.

Dès le coup de sifflet, je cours un peu n'importe où pour commencer, mais très vite j'essaie de me trouver une planque. Je remarque Rémy qui a du mal à courir tout comme Jean-Luc qui avec son masque ne peut pas s'essouffler. J'avais repérer lors des jogging matinaux un coin un peu à l'écart avec une cabane à outils. Je me dirige vers celle-ci. A l'intérieur, il y a pas mal de recoins, je me cache dans l'un d'eux. Je suis bientôt rejoint par Thierry qui a déjà des coupures aux pieds. Il ne me voit pas. Il respire très fort et semble parler tout seul. J'entends le deuxième coup de sifflet. Très vite, des chasseurs hurlent. Les hurlements se rapprochent. J'observe un peu sans me faire remarquer et je vois Thierry qui regarde par le trou dans la porte. Je l'entends dire " m e r d e , ils viennent ici ! " Et peu de temps après, un des chasseurs est là et crie " j'en ai un ". Visiblement il est le premier. Fier de sa prise, il ne me voit pas et ne cherche même pas ailleurs dans la petite cabane. Thierry, lui est ligoté, bras le long du corps. Il ne peut plus bouger. Un bâillon lui est mis dans la bouche puis une cagoule l'aveugle. Il est maintenant allongé sur le sol et le chasseur lui pisse dessus. J'entends un cri étouffé de dessous la cagoule...

J'essaie de ne pas trop bouger pour ne pas me faire remarquer. Quand le chasseur a fini de pisser, il retourne Thierry qui se trouve maintenant sur le dos. Je vois le chasseur se mettre à genoux sur lui et lui enlever le slip. Il lui tord les couilles, sans ménagement puis met Thierry sur ses épaules, et l'emmène. J'attends un petit moment puis je vais voir au trou de la porte : personne en vue. Au loin, j'entends un bruit de clochettes, je pense que Yves a été trouvé, puis, quelques instants plus tard, j'entends la voix de Marco qui hurle. Une pluie orageuse tombe à nouveau. Des éclairs, du tonnerre ! mais la chasse continue, je n'ai pas de nouvelles ni de Rémy ni de Jean-Luc, mais maintenant je pense que c'est chacun pour soi... J'entends un chasseur s'approcher. Je rejoins ma cachette. Je suis accroupi derrière un tas de vêtements et d'outils.

Mes mains attachées dans le dos m'empêchent de bien disposer le tout. Le chasseur est tout près de la cabane. Un coup de tonnerre, et je l'entends entrer et pester contre la pluie. Je me terre dans ma cachette. Il laisse la porte ouverte et crie " on en est à combien ? " Au loin, j'entends " Cinq, il en manque un ! ". Je suis donc le dernier à n'avoir pas été trouvé. Un éclair, un coup de tonnerre, le chasseur claque la porte et commence à regarder autour de lui. Bien sûr, il me trouve ! Le mec est assez costaud, il me déloge et tout de suite m'enlève le slip. Je ne peux rien faire avec mes menottes. Il me tire par la bite et me met sa langue dans ma bouche. " Alors mon gaillard, on a bien résisté ! mais maintenant tu es à moi ! Comment tu t'appelles déjà ? " Je lui réponds " Cédric ". Il me pelote la poitrine et me tord les tétons. "

Allez, on attend tranquillement la fin de l'averse et on y va ! "

Puis il me ligote le haut du corps, me laissant les jambes libres. Il m'attache une corde à la bite en la serrant assez fort. Il tient la corde et tire dessus pour que je le suive. Il ouvre la porte, la pluie s'est un peu calmée. Il m'entraîne en courant. J'ai du mal à suivre et à la première flaque, il fait exprès de me tirer plus fort, ce qui me fait tomber en plein dans la flaque de boue. Il rit en me voyant, m'aide à me relever et nous voilà reparti vers le château. Deux fois encore, je tombe. Je suis dégoulinant de boue et d'eau ! Quand on arrive sur la terrasse, les autres chasseurs applaudissent. Je vois mes camarades dans des positions différentes : Thierry est attaché sur la potence, les pieds en haut et la tête en bas. Son corps se balance. Il est lui aussi couvert de boue et a dû certainement recevoir la dernière pluie. Puis il y a Yves, attaché au-dessus d'une sorte de haie, les mains et pieds liés, le cul bien en évidence. Lui aussi est dégoulinant d'eau. Marco est attaché à un piquet, la bite bien en évidence. Rémy a la même position que Marco, mais lui c'est le cul qui est mis en évidence.

Jean-luc a les jambes écartées retenues par une barre, ses mains sont attachées en haut d'un piquet, avec des chaînes. Mon chasseur enlève mes liens, mes menottes et me demande d'entrer dans le carcan. J'ai la tête et les mains prises. Il m'attache ensuite les jambes, je ne peux plus bouger. Je vois un chasseur qui amène un plug assez impressionnant. Ouf, ce n'est pas pour moi, c'est pour Yves qui pousse un grand cri quand on lui enfonce. Il reçoit deux grandes claques sur les fesses. Puis ils s'éloignent tous, entrant dans le château. Ce doit être la fin de l'après-midi, le soleil est revenu, mais il commence à descendre. Nous échangeons nos impressions sur cette après-midi. Chacun espère que ça va bientôt se terminer. Thierry me demande pourquoi je ne me suis pas fait entendre quand il était dans la cabane...

Je ne sais trop quoi lui répondre, mais il convient qu'à deux on aurait eu encore moins de chance ! les autres expliquent leur stratégie, mais avec les accessoires que nous portions, nous n'avions guère de chance de ne pas être pris. Jean-Luc a eu beaucoup de mal à courir, il n'arrivait pas à reprendre sa respiration avec son masque. Maintenant Thierry, la tête en bas, espère ne pas rester trop longtemps dans cette position. Yves se plaint de ce qu'il a dans le cul. Il ne peut pas pousser, le plug est retenu par une fixation à une ceinture qu'on lui a posée. Je suis le moins contraint dans ma position, même si je ne peux pas trop bougé.

Visiblement ils sont en train de manger à l'intérieur. On les entend rire et chanter au loin. Je sens la boue sécher sur moi... Deux bonnes heures passent. Il commence à faire noir dehors. Yves qui n'en pouvait plus, se pisse dessus, tout comme Marco. Thomas vient nous voir. Il nous annonce que la soirée n'est pas terminée que nous allons encore subir quelques outrages. Il utilise ce mot qui fait réagir Rémy. Mais ce dernier n'obtient aucune réponse.

Quand les chasseurs reviennent, ils sont torse nu. L'un d'eux, celui qui m'a attrapé, annonce " la suite des festivités ".Il annonce également une punition pour les premiers attrapés. Thierry, le premier attr a p e r doit, dans sa position (tête en bas) sucer l'un des chasseurs qui lui présente son membre bandée. Les autres le regardent. Il s'enfonce consciencieusement au fond de la gorge de Thierry qui semble s'étouffer. Lorsqu'il se retire, c'est pour lâcher sa semence sur la tête de Thierry, sous les applaudissements des autres. Un deuxième chasseur s'approche de Marco et lui plaque des orties sur les couilles. Marco hurle comme jamais ! Il fait la même chose à Jean-Luc qui lui aussi hurle... Yves se voit retirer son plug pour prendre à la place deux chasseurs les uns à la suite des autres. Comme il ne peut pas bouger, il se contente de crier.

On lui met son slip dans la bouche, slip qui avait traîné dans la boue ! Quand à Rémy et à Moi, nous avons également droit à une bite de chasseur dans le cul. Ils graissent un peu notre cul et tous les deux en même temps nous nous faisons enculer. Pas très longtemps, mais avec une certaine b r u t a l i t é . Ils se retirent en même temps, et se finissent sur notre dos.

Pendant qu'ils se rajustent leur treillis, nous sommes détachés. Nous devons retirer tout ce que nous avons sur nous. Pour moi, c'est très simple, je n'avais plus que mes chaussures. Puis nous devons suivre le groupe de chasseurs, à la lueur de lampes de poche, au bout du parc, un endroit encore inconnu pour nous. Il s'agit essentiellement d'une grande pelouse, détrempée par les orages de la journée. Nous arrivons ensuite dans un petit bois, où nous distinguons une sorte de parcours. Il s'agit d'un mini parcours militaire : un mur à gravir, des haies, etc... on nous ordonne de se mettre en position de pompes, puis nous devons nous exécuter sous les cris et les insultes de nos b o u r r e a u x. Marco est le premier à craquer.

Il n'arrive plus à tendre les bras. Il est relevé par l'un des chasseurs. La séance de pompes est alors terminée et nous assistons à une punition de notre camarade. Il est attaché à un arbre et reçoit de chaque chasseur une dizaine de coups soit avec les mains, soit avec une ceinture. Il peut crier tant qu'il veut, chaque chasseur s'acharne sur son cul. Lorsqu'ils ont terminé, nous devons gravir (toujours nus) le mur de 2,50 m environ. Il faut prendre de l'élan et sauter pour attr a p e r le haut du mur, puis le gravir et sauter de l'autre côté. Je suis le premier à passer. Je fais trois essais et j'arrive enfin à atteindre le mur. Il faut ensuite que je me hisse pour passer dessus. De l'autre côté, ce n'est pas un tapis, mais de l'herbe très humide dans un trou rempli de boue. Je me jette et j'atterris donc, couvert de boue. Le suivant est Jean-Luc qui me rejoint puis Yves. Rémy met un peu plus de temps. Marco et Thierry n'arrivent pas à gravir le mur. Ils passent donc sur le côté, sont jetés dans la boue, tête la première et ont interdiction de sortir. Les chasseurs se mettent alors à leur pisser dessus.

Nous commençons vraiment à être épuisés, mais le parcours n'est pas terminé, nous devons maintenant ramper sous les haies puis sauter par-dessus au retour. Ramper peut être facile, mais nous sommes gênés par des racines, des pierres, des cailloux. On met donc un peu plus de temps ce qui agace nos b o u r r e a u x. Cette fois, tout le monde réussit le parcours. Nous sommes maintenant liés les uns aux autres, pour retourner près de la piscine. Il fait maintenant nuit noire. Arrivés près de la piscine, nous sommes attachés deux par deux aux piquets installés près de la piscine, puis les chasseurs nous arrosent à l'eau froide pour " nous décrasser " comme ils disent. Ils s'appliquent à viser nos couilles, ce qui provoque des mouvements de recul de notre part et même des cris parfois. Lorsque chacun est propre, ils nous emmènent dans la salle où ils ont mangé. Nous sommes chargés de mettre de l'ordre dans la pièce : débarrasser les tables, ranger les chaises, un chasseur s'empare de moi et m'emmène sur l'un des canapés qui se trouve près d'un mur. Il commence à me peloter les seins, à m'embrasser, à me toucher la bite en me flattant. Je ne suis pas très sensible à ses avances, je ne bande pas : la fatigue, le dégoût, sans doute. Il pue l'alcool et la sueur. Il déboutonne son pantalon et je dois le sucer. Sa bite à le goût de m e r d e . J'ai vraiment envie de vomir, mais je m'applique. Je vois Jean-Luc ligoté sur une chaise.

L'un des chasseurs s'applique à le faire bander. Les autres sont enfermés dans les caisses et des chasseurs passent leur bite dans le trou pour se faire sucer ou branler. Quand Jean-Luc bande, son chasseur s'installe sur sa bite en poussant des soupirs. Les autres le rejoignent. Je dois suivre mon b o u r r e a u qui me tient par les couilles, en les serrant très fort. Il me demande de m'assoir sur Jean-Luc, mais Thibaut s'interpose en disant que ses protégés ne doivent pas servir dans ce sens. Je le regrette un peu, mais je suis soulagé de voir que des limites sont fixées. Je dois alors me branler pour voir " si je suis capable de juter ". J'ai du mal à bander, mais j'y arrive finalement. Un chasseur m'installe sur une chaise, dans la même position que Jean-Luc, et vient s'assoir sur ma bite. Il me dit que je peux me lâcher dans son cul. Il me faut quelques minutes, mais la chaleur de son cul faisant, je me laisse aller et je lâche mon sperme dans son cul.

Quand il ressort, je dois aspirer mon sperme de son cul. Je suis dégoûté mais finalement, ce n'était pas le plus moche des chasseurs, et j'y arrive. C'est ensuite un concours de jute où les chasseurs s'appliquent à viser nos visages pour juter. Quand ils ont terminé, ils nous emmènent à nouveau dehors et nous attachent chacun à un arbre, dos à l'arbre, les mains et les jambes écartées. Le cou est attaché comme les mains et les pieds. Notre bite est alors bien en vue de chacun. Nous recevons alors chacun des gifles en fonction d'un jeu qu'ils se sont inventés. Lorsque l'un d'eux dit qu'il est tard, ils nous laissent, sans nous regarder. Nous entendons au loin des portières de voiture puis grand silence. Nous essayons de récupérer chacun nos esprits.

Le plus atteint semble Marco qui dit avoir très mal au bas ventre. Thierry se plaint de blessures aux pieds et aux coudes... Après cette journée, nous avons froid, même si la nuit est douce. Personne ne semble venir nous délivrer... En fait, nous passons la nuit entière dans cette position. Certains se sont assoupis et j'en fais partie... Quand je reviens à la réalité, je grelotte un peu et il commence à faire jour. Personne en vue. J'interpelle mes camarades de souffrance. Rémy me répond qu'il a mal. Lorsqu'il fait vraiment jour, nous voyons Karim qui s'approche de nous.

  • Alors messieurs, belle nuit n'est-ce pas ?

  • Si c'est de l'humour, c'est pas drôle !

  • C'est de l'humour ! Allez, la journée sera meilleure si la nuit a été dure !

Karim nous détache. Il a, avec lui, un short pour chacun et une paire de tongs. Nous retournons dans le château où un petit déjeuner copieux nous est servi. Puis nous allons à l'infirmerie soigner nos petits bobos. Thierry et Marco y passeront la journée. Nous avons eu cette fois là un dimanche calme entre bronzette, sieste et repas copieux ! mais je ne voudrais pas revivre la soirée qui a précédé.

Le reste du séjour fut identique au début : sport, cours, endurance. Nous eûmes aussi à apprendre les bonnes manières d'un esclave : comment accueillir son maître, comment le servir, être à l'écoute de ses besoins... nous avons appris à cuisiner, à repasser... J'ai appris beaucoup sur l'économie internationale, le droit... J'ai aussi préparé le permis de conduire. La fin du séjour approchait. Nous avions maintenant un certain endurcissement. Nous étions moins fragiles lors des coups reçus sur les fesses notamment, mais nous avions vécu en vase clos, sans voir l'extérieur depuis trois mois. Une semaine environ avant notre départ, nous furent tous tatoués d'une bite avec les initiales de notre maître. Le tatouage était assez discret, sur le pubis, côté droit. Il faisait environ 2 cm mais on distinguait bien la bite en érection et les deux couilles. La veille du départ, nous avons eu droit à une dernière épilation totale, rasage du crâne et à une visite médicale. La nuit fut courte, nous étions excités à l'idée de revoir notre maître... Nous avons bien baisés cette nuit là !

Le jour du départ, lever à 6 heures, douche puis repas, en tenue d'Adam. D'ailleurs on ne s'habillerait pas de la journée. Chacun d'entre nous était venu très docile. Seul Marco avait conservé son air d'insoumis. Thomas nous dirigea vers le bâtiment central là où nos maîtres nous avaient amenés le premier jour. Nous avons été positionnés les uns près des autres à l'entrée du château. Dès que quelqu'un entrait, il nous voyait. Nous avions eu ordre de ne pas réagir. Quand tous les maîtres furent là, Thomas présenta les tatouages, marque de notre soumission puis nous autorisa à nous approcher de notre maître. J'avais envie d'embrasser Jacques, mais j'ai fait comme on avait appris : arrivé près de lui, je me suis mis à genoux et j'ai baissé la tête. Il m'a relevé, sans un mot, m'a emmené près de la voiture et m'a demandé de me mettre dans le coffre. Je m'y suis installé. Il a refermé le coffre sans un mot et a démarré la voiture. Ce n'est qu'à la villa, une heure après, qu'il me délivre et qu'il m'embrasse enfin. Il me donna des vêtements et nous sommes allés au restaurant. Il me demanda si les cours d'économie avaient été utiles. Il me précisa que je passerai l'examen du code le lendemain et que j'avais intérêt à l'avoir. Après le repas, on retourna à la villa. Je dus me mettre nu à nouveau et me regarda fixement :

  • On dirait que tu as pris du muscle, mon bonhomme, ce n'est pas pour me déplaire !

Puis il fixa ma bite :

  • Je vois que Thomas t'a retiré ta prison ! Bon, on verra ça demain !

Il se déshabilla a son tour et je m'occupais de lui comme je l'avais appris. Il se laissa aller dans ma bouche. Il y avait bien longtemps que je n'avais pas goûter son sperme et je me délectais. Il me suça à son tour, et quand j'ai juté il a tout pris dans sa bouche puis s'est approché de moi pour tout me donner. Nous avons ensuite parlé de mon avenir : j'allais devenir son secrétaire particulier, son chauffeur, son conseiller. Et surtout son objet de plaisir.

maurleo

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